La saison des événements d'affaires bat son plein depuis la mi-septembre. Et à l'exception de la pause des fêtes, elle se poursuivra jusqu'en juin.
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Ces activités professionnelles, très bénéfiques pour le réseautage, ont aussi un petit côté glamour. Mais lorsque les événements d'affaires accaparent une bonne partie de l'agenda hebdomadaire, ces sorties peuvent vite devenir un défi organisationnel. Sans parler des effets sur la santé. Que faire pour conserver son énergie ? Quoi manger pour ne pas faire monter l'aiguille de la balance ?
«Ça prend certainement quelques petits trucs», reconnaît Marie Cacchione, directrice des relations clients, marché de l'affinité, Québec, TD Assurance Meloche Monnex.
De par ses fonctions, Mme Cacchione participe en moyenne à quatre activités d'affaires par semaine. Et à quelques reprises durant l'année, elle court les événements du matin jusqu'au soir. «Je ne peux pas me permettre de me nourrir uniquement de petites bouchées quatre fois semaine. J'ai pris l'habitude de manger des noix avant ce type de rendez-vous pour que mon estomac tienne le coup jusqu'au retour à la maison», dit-elle.
Mme Cacchione souligne également avoir fait une croix sur les verres de vin... et les chaussures à talons hauts. «La plupart du temps, lors de ces événements, on est debout ou longtemps assis. Je dois prévoir des vêtements et des chaussures dans lesquels je serai confortable», ajoute-t-elle.
Pour Julie Pombert, tout est une question d'équilibre. Invitée à au moins deux événements par semaine, parfois cinq, la directrice, programmes financiers et groupes d'affinité à la Banque Nationale, a pris l'habitude de troquer le dessert par des fruits.
«Et il m'arrive souvent de m'en passer», dit-elle. Côté vêtement, la petite robe noire classique sert régulièrement de passe-partout.
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