ASDR obligée d'en faire plus que si elle était à Montréal

Offert par Les Affaires


Édition du 04 Octobre 2014

ASDR obligée d'en faire plus que si elle était à Montréal

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Édition du 04 Octobre 2014

« On a déjà prévu d’aller chercher [de la main-d’oeuvre] du côté du Lac-Saint-Jean où il n’y pas beaucoup de travail ces temps-ci », explique Stephen Authier, d’ASDR.

Stephen Authier, le pdg d'ASDR, une PME de Malartic qui offre des services en environnement, en génie, et fabrique des équipements spécialisés dans les domaines minier, forestier et industriel, prévoit embaucher de 40 à 50 personnes en 2015 : des soudeurs, des machinistes, des ingénieurs, des techniciens en traitement des eaux, des chimistes qui s'ajouteront aux 150 employés déjà en place.

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Connaissant les difficultés de recrutement en Abitibi-Témiscamingue, l'entreprise est également en train d'analyser la situation de l'emploi dans toutes les régions du Québec afin de cibler celles qui ont le taux de chômage le plus important. «On a déjà prévu d'aller chercher du côté du Lac-Saint-Jean où il n'y pas beaucoup de travail ces temps-ci», explique Stephen Authier.

Il faut dire qu'à Malartic, qui compte 3 300 habitants, «le bassin de main-d'oeuvre est petit» et certains experts sont carrément absents, comme les agronomes ou les techniciens en traitement des eaux. De plus, «on arrive à faire venir des jeunes, mais au bout de quelques années d'expérience, ils veulent retourner dans les grands centres urbains», déplore Stephen Authier. Il assure néanmoins avoir un bon taux de rétention, avec un roulement inférieur à 5 %.

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