« Tourisme Montréal a l’ambition d’être parmi les dix premières villes de congrès en matière de tourisme durable et vert », avise sa porte-parole. (Photo: 123RF)
RÉUNIONS ET CONGRÈS. Depuis le début de l’été, les personnes qui visitent Montréal disposent d’un outil pour compenser l’empreinte carbone de leur voyage — notamment le transport, l’hébergement et la restauration — à la fin de leur séjour.
En partenariat avec Aéroports de Montréal et le programme de compensation de gaz à effet de serre (GES) Carbone boréal, Tourisme Montréal a mis en place un calculateur de GES. Pour l’instant, seuls des pays comme l’Islande ou la Nouvelle-Zélande proposaient de tels outils. Avec les fonds récoltés, Carbone boréal plantera des pins au nord de la ville de Saguenay.
Jusqu’à présent, la formule est en mode test, tient à préciser Aurélie de Blois, conseillère aux communications, relations publiques et médias à Tourisme Montréal.
Par ailleurs, grâce à l’introduction de ce calculateur, Tourisme Montréal a signé un pacte avec l’Events Industry Council, qui lui permet de s’afficher comme destination axée sur le tourisme durable. La ville répond ainsi à huit normes dictées par l’organisme international, dont celle d’encourager des politiques d’achats locaux, d’éduquer les visiteurs et de compenser toutes les émissions carbone liées aux déplacements professionnels de ses employés.
« Tourisme Montréal a l’ambition d’être parmi les dix premières villes de congrès en matière de tourisme durable et vert », avise sa porte-parole.
