«Mais la tâche n’est pas aisée, admet M. Simons. Nous ne sommes pas dans une ère de construction de centres commerciaux.» Au contraire, ce concept tend à souffrir autant de la multiplication des mégacentres (comme le Dix30, à Brossard) que des achats sur Internet, une avenue qu’exploite Simons de plus en plus.
Les États-Unis, via Internet
«Depuis mai dernier, nous sommes déjà à notre troisième version de site, relate M. Simons. Notre courbe d’apprentissage a été on ne peut plus rapide !»
Mais les choses se passent bien, apparemment. Au point où l’entreprise prévoit avant longtemps l’ouverture de son site à la clientèle américaine. «Une fois la technologie maîtrisée, le défi en est surtout un de logistique, pour l’acheminement des marchandises achetées, dit-il, rejetant d’un même coup toute prétention de tenter ainsi de courtiser le marché américain.
Le développement de Simons, assure-t-il, passera d’abord par l’Ouest du pays. Pas question, assure-t-il, de se lancer dans l’exploration du marché américain. Du moins pour l’instant.