Voici une sélection d'annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises.
Voici une sélection d’annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises:
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Le géant américain de l’agroalimentaire Pespsico (PEP, 139,40$) a vu ses ventes de boissons aux États-Unis et au Canada repartir de l’avant au troisième trimestre après avoir souffert d’une chute de la demande en raison de la pandémie. Le département Boissons Amérique du Nord a en effet enregistré une hausse de 6 % de ses revenus entre début juin et début septembre, ceux-ci s’établissant à 5,96 milliards de dollars. Au trimestre précédent, le chiffre d’affaires avait baissé de 7 %. Les ventes de collations sont, elles, restées solides avec une hausse de 7 % (4,40 milliards de dollars), tirées par les croustilles Lay’s, Fritos et Doritos ainsi que les gâteaux apéritifs Cheetos. Du côté des produits pour le petit-déjeuner, réunis dans le département Quaker Foods, le chiffre d’affaires a augmenté de 6 %, à 608 millions de dollars. Les ventes ont aussi progressé dans les autres régions du monde (Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie du Sud et Pacifique, Australie et Nouvelle-Zélande, Chine), sauf en Amérique Latine, où elles ont baissé de 13 %.
Le titre Bayer (BAYN, 47,64€) dérapait jeudi à la Bourse de Francfort, après l’annonce mercredi soir d’un nouveau plan d’économies et de dépréciations d’actifs en milliards dans l’agrochimie en raison de la pandémie du coronavirus. Cette chute du poids lourd du Dax contribuant à ramener la hausse de l’indice vedette à seulement 0,19 %. Le titre avait plongé jusqu’à 12 % en matinée pour afficher son plus bas de l’année et ramener le cours à son niveau de 2011. Le groupe de Leverkusen compte économiser d’ici 2024 1,5 milliard d’euros en plus des 2,6 milliards d’euros d’économies annuelles annoncées en 2018 et qu’il compte réaliser dès 2022, selon un communiqué tombé mercredi soir. Cela pourrait entraîner de nouvelles suppressions d’emplois après que Bayer eut déjà décidé de supprimer 12 000 emplois en 2018.
Le géant suisse de l’alimentation Nestlé (NESN, 109,84 CHF) va investir quelque 450 millions de dollars dans une nouvelle usine aux États-Unis pour renforcer ses activités de nourriture pour animaux de compagnie, un de ses grands axes de croissance, a-t-il annoncé jeudi. Cette nouvelle usine, basée à Eden en Caroline du Nord, va emménager dans une ancienne brasserie que le groupe, propriétaire notamment de la marque Purina, prévoit de rénover afin d’y installer ses lignes de production, a-t-il indiqué dans un communiqué. Elle doit entrer en service en 2022, a précisé le groupe, qui compte y employer plus de 300 personnes au cours des deux années suivantes. Les aliments pour animaux font partie des grandes catégories de produits sur lesquelles le patron de Nestlé, l’Allemand Ulf Mark Schneider, a mis l’accent pour relancer la croissance du groupe qui ne cessait de s’étioler.