Voici une sélection d'annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises.
Voici une sélection d’annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises:
(Repassez nous lire de temps à autres
pour ne pas manquer de mise à jour)
Le patron du géant allemand de l’automobile Volkswagen (VOW3, 148,50€) Herbert Diess abandonne la présidence de la marque pour se concentrer sur le groupe, a annoncé VW lundi. À compter du 1er juillet, la marque sera dirigée par Ralf Brandstätter, qui occupe déjà la direction opérationnelle de la marque, selon un communiqué publié à l’issue d’une réunion extraordinaire du conseil de surveillance du groupe de Wolfsburg (nord de l’Allemagne). « Herbert Diess, qui occupait les deux postes jusqu’ici, obtient ainsi plus d’espace libre pour ses tâches de patron du groupe », précise VW. « L’objectif est une focalisation plus grande sur les tâches respectives à la tête du groupe et de la marque dans cette phase de transformation de l’industrie automobile ». Selon les médias allemands, cette annonce intervient après des semaines de turbulences au sein de Volkswagen. Herbert Diess fait l’objet de critiques notamment du puissant comité d’entreprise qui lui reproche des erreurs de management et le rend responsable des problèmes de logiciel sur le modèle Golf 8 et la nouvelle voiture électrique ID.3.
Le géant chinois du commerce en ligne JD.com prévoit de lever 3,6 milliards d’euros la semaine prochaine lors d’une introduction à la Bourse de Hong Kong, a confirmé lundi l’entreprise à l’AFP. JD.com est déjà coté au Nasdaq où il avait récolté 1,78 milliard de dollars lors de son introduction en 2014. Dans un contexte de rivalité commerciale, technologique et politique avec Washington, Pékin encourage désormais ses entreprises à choisir plutôt les places de Hong Kong ou Shanghai pour lever des fonds.
Le géant pétrolier britannique BP (BP, 370,25£) a annoncé lundi la suppression de 10 000 emplois dans le monde, soit 15 % de ses effectifs, afin de gagner en efficacité et de s’adapter à un marché pétrolier frappé par la crise sanitaire. La majorité de ces suppressions de postes interviendra d’ici la fin de l’année et concernera principalement des salariés dans les fonctions administratives, précise le groupe dans un communiqué. La hiérarchie ne sera pas épargnée puisque BP va réduire d’un tiers le nombre de hauts dirigeants, au nombre de 400 pour l’instant. Ces annonces ont été faites par le directeur général Bernard Looney lors d’une conférence en ligne destinée au personnel de BP.