Voici une sélection d'annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises.
Voici une sélection d’annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises:
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Mercredi, «les résultats de FedEx(FDX, 146,86$US) ont pu pousser les investisseurs à ré-évaluer leurs perspectives sur la croissance mondiale l’an prochain dans la mesure où le secteur des transports donne souvent une bonne indication sur l’évolution à venir de l’économie», a estimé Sam Stovall de CFRA. Le groupe de logistique FedEx a en effet publié mardi soir des résultats trimestriels décevants que l’entreprise impute aux tensions commerciales mondiales et à la perte d’Amazon, un client de poids. FedEx a dans la foulée révisé à la baisse ses prévisions de bénéfice annuel et son titre a chuté de 10,03% à Wall Street mercredi. Son concurrent UPS a perdu 1,95%.
Faux pas pour Disney(DIS, 146,26$US)? L’Ascension de Skywalker est censé clore la saga planétaire entamée par Star Wars voici 42 ans mais pour de nombreux critiques américains, le film a manqué sa cible aussi sûrement qu’un Stormtrooper rate un Wookiee dans un couloir. Mercredi, il recueillait 59% d’avis positifs sur le site anglophone Rotten Tomatoes, le plus mauvais score pour un film Star Wars depuis La Menace Fantôme, en 1999. Le long-métrage est déjà dans le salles en France mais ne sort que vendredi aux Etats-Unis, où il n’a pour l’instant été projeté que lors de rares avant-premières. Beaucoup reprochent au réalisateur JJ Abrams d’avoir joué la carte de la facilité, préférant brosser les fans de Star Wars dans le sens du poil plutôt que de proposer un dénouement original pour ces trois trilogies. «Le film est tellement soucieux de ne pas fâcher qu’il finit par ressembler davantage à une oeuvre écrite par des fans qu’à la création de professionnels du cinéma», déplore notamment le magazine Time.
Les constructeurs automobiles allemands BMW et Daimler vont abandonner leur offre commune d’autopartage en Amérique du Nord et réduire la voilure en Europe, évoquant un démarrage difficile sur ce marché «compliqué». Cette décision intervient moins d’un an après que les rivaux allemands ont lancé en grande pompe leur offre baptisée «Share Now» pour réunir leurs présence dans l’autopartage et d’autres services de mobilité du futur, moyennant un investissement d’un milliard d’euros. Les deux entreprises vont retirer leurs services aux États-Unis et au Canada à partir du 29 février 2020, justifiant cette décision par «l’instabilité du paysage de la mobilité globale» et des coûts en hausse, selon un communiqué publié mercredi. Share Now, né de la fusion des offres Car2Go de Daimler et DriveNow de BMW, va également quitter en partie le marché de l’autopartage en Europe, à Londres, Bruxelles et Florence «en raison des faibles taux d’adoption». Les deux entreprises reconnaissent faire face à des «réalités compliquées» dans un secteur extrêmement concurrentiel de réservation de voitures pour des locations de courte durée en zone urbaine.