Voici une sélection d'annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises.
Voici une sélection d’annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises:
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En ouvrant un magasin flambant neuf le mois dernier en plein coeur de Manhattan, Nordstrom(JWN, 38,32$US) espère doper ses ventes de fin d’année, alors que les opérations promotionnelles de «Black Friday» marqueront vendredi le début de la saison des achats de Noël aux États-Unis. La nouvelle enseigne s’inscrit pourtant à contre-courant de la tendance actuelle dans le milieu de la grande distribution américaine. Faisant les frais de la montée du commerce en ligne et de la «fast fashion», des marques comme Macy’s ou J.C. Penney ont dû fermer des centaines de magasins à travers le pays. D’autres groupes autrefois prestigieux, comme Lord & Taylor et Barney’s, ont été contraints de mettre la clef sous la porte. Mais en installant pour la première fois de son histoire son magasin phare à New York, à quelques pas seulement de Central Park, Nordstrom espère relancer un format en perte de vitesse.
L’assureur Axa, poids lourd mondial du secteur, s’est engagé mercredi à sortir définitivement de l’industrie du charbon à l’échelle mondiale d’ici 2040, dans le cadre de ce que plusieurs ONG environnementales ont décrit comme la «meilleure politique jamais adoptée par un acteur financier». Le groupe, qui s’était déjà engagé par le passé à réduire ses investissement dans les entreprises liées au charbon, a dévoilé un arsenal de nouvelles mesures contre le réchauffement climatique. «Pour réussir cette nouvelle étape, Axa utilisera tous les leviers dont il dispose en tant qu’investisseur et assureur de taille mondiale, mais aussi en tant qu’entreprise capable de mener des actions collectives», assure le groupe dans un communiqué financier. Dans le détail, Axa prévoit notamment de durcir sa politique de désinvestissement du charbon pour sortir complètement de cette industrie d’ici 2030 dans les pays développés de l’OCDE et à l’horizon 2040 dans le reste du monde.
L’Ukraine a accusé le géant américain Apple(AAPL, 267,84$US) de «se foutre de sa douleur» pour avoir présenté dans ses applications comme russe la péninsule ukrainienne de Crimée, annexée en 2014 par Moscou. «Laissez-moi vous expliquer en des termes que vous pourrez comprendre, Apple: Imaginez que vous criiez sur tous les toits que votre design, vos idées, vos années de travail et une partie de votre coeur vous ont été volés par votre pire ennemi mais qu’un ignorant se foute de votre douleur», a fustigé sur Twitter le chef de la diplomatie ukrainienne, Vadym Prystaïko. «C’est ce que ça fait quand vous qualifiez la Crimée de territoire russe», a-t-il ajouté en interpellant Apple. À la suite de pressions russes, les villes de la péninsule telles que Simféropol ou Sébastopol apparaissent comme étant en « Crimée, Russie », lorsque le service de navigation et de météo du géant américain est utilisé depuis la Russie. Les mêmes villes apparaissent sans pays défini lorsque ces services sont utilisés depuis d’autres pays.