Voici une sélection d’annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises:
(Repassez nous lire de temps à autre
pour ne pas manquer de mise à jour)
Cannabis: SNDL annonce un accord pour acquérir la société Valens
Le propriétaire de la boutique de cannabis SNDL indique qu’il acquerra le producteur de cannabis Valens Company (VLNA.TO, 1,12 $) et combinera les entreprises dans une transaction entièrement en actions évaluée à 138 millions de dollars. Dans le cadre de l’accord, SNDL acquerra toutes les actions ordinaires émises et en circulation de Valens autres que celles détenues par SNDL et ses filiales.
Les actionnaires de Valens recevront 0,3334 action ordinaire de SNDL pour chaque action Valens qu’ils détiennent. SNDL précise que l’offre implique une valeur de 1,26 $ par action Valens, ce qui représente une prime de 10% sur le prix moyen pondéré en fonction du volume sur 30 jours.
Les sociétés estiment que leur fusion permettra de réaliser plus de 10 M$ d’économies annuelles et d’augmenter la part de marché globale du cannabis de SNDL à 4,5%. SNDL, qui est à l’origine des marques Value Buds et Spiritleaf, avance que la transaction devrait être conclue en janvier.
Logiciels: les actionnaires de Link approuvent l’offre de Dye & Durham
Les actionnaires de la société australienne Link Administration Holdings ont voté en faveur du projet d’acquisition de Link Group par Dye & Durham (DND.TO, 16,55 $), affirme cette dernière. Le directeur général de Dye & Durham, Matthew Proud, ajoute que l’approbation était une étape majeure vers la réussite de ce qu’il a appelé une transaction transformatrice.
La société de logiciels en nuage établie à Toronto dit que l’acquisition élargirait sa clientèle sur les marchés clés du Royaume-Uni et de l’Australie et renforcerait ses logiciels interentreprises et ses solutions de services d’information. Dans le cadre de l’accord, les actionnaires de Link Group recevront une contrepartie de base de 4,81 dollars australiens par action.
La transaction est soumise aux approbations judiciaires et réglementaires, notamment de la Commission australienne de la concurrence et de la consommation et de la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni ainsi qu’à d’autres conditions de clôture habituelles. La Commission australienne de la concurrence et de la consommation a indiqué plus tôt cette année qu’elle constatait d’importants problèmes de concurrence préliminaires avec l’accord.