L’initiative Femmes de la Banque Scotia : un levier pour les femmes entrepreneures
Banque Scotia|Mis à jour le 12 juin 2024En décembre 2018, la Banque Scotia lançait L’initiative Femmes de la Banque Scotia et s’engageait à investir 3 milliards de dollars sur trois ans pour soutenir l’entrepreneuriat féminin. À ce jour, plus de 3,2 milliards de dollars ont été investis pour aider des milliers de femmes entrepreneurs à se réaliser et à avoir du succès. Un soutien fortement apprécié des femmes entrepreneures qui, chaque jour, relèvent de nombreux défis pour démarrer, exploiter et faire prospérer leurs entreprises.
Parce que le respect, la diversité, l’intégrité, l’inclusion et l’éducation sont des valeurs importantes pour la Banque Scotia, l’organisation souhaite contribuer à la croissance et à la viabilité des entreprises dirigées par des femmes. « Bien que les femmes aient faits d’importantes avancées en matière de développement des affaires ces dernières années, certains biais inconscients subsistent et les femmes pourraient prendre encore plus de place dans le monde des affaires », souligne Maria Mangiocavallo, vice-présidente, Banque Commerciale, Région du Québec, Banque Scotia. « L’initiative Femmes de la Banque Scotia vise, entre autres, à démontrer qu’il existe des biais inconscients et à outiller les femmes entrepreneures à mieux naviguer dans ce contexte », ajoute-t-elle.
Capital, éducation et mentorat
L’initiative Femmes de la Banque Scotia est fondée sur trois piliers d’action privilégiés, soit l’accès au capital, l’éducation et le mentorat. Au cours des trois dernières années, ce programme soutenant l’entrepreneuriat féminin a pris la forme de différents projets.
« Puisque le réseautage est primordial pour les femmes entrepreneures, ce dernier représente un important volet du programme », indique Ana Marinescu, directrice de l’initiative Femmes de la Banque Scotia pour le Québec. Dès son arrivée en poste en mars 2020, elle s’est d’ailleurs attelée à développer des liens avec des partenaires de choix, dont le Réseau des femmes d’affaires du Québec, Femmessor, Premières en affaires et la Jeune chambre de commerce du Québec. « La pandémie nous a évidemment pris de court, mais nous avons fait preuve d’agilité en adaptant rapidement nos activités en formule virtuelle », ajoute Ana Marinescu.
Ainsi dans le cadre de ses activités virtuelles, L’initiative Femmes de la Banque Scotia a pu offrir des conférences abordant des thématiques centrales pour les femmes entrepreneures, tels que « L’entrepreneuriat et la maternité », ou « Comment se préparer pour parler à son banquier ».
Aider les entrepreneures issues de la diversité
L’initiative Femmes de la Banque Scotia soutient également des organismes de la diversité comme Le Salon Internationale de la Femme Noire ou encore le Groupe 3737 et son programme Fempreneures. Ce programme propose aux femmes entrepreneures issues de la diversité un soutien personnalisé, des services et des occasions de réseautage.
Au total, la Banque Scotia a versé 100 000 $ pour soutenir l’organisme montréalais qui regroupe des entreprises en démarrage, des experts, des sociétés mondiales, des institutions ainsi que des établissements universitaires et gouvernementaux dans le but de favoriser le développement économique et social, la recherche et l’innovation.
Mais au-delà de l’appui financier, la Banque Scotia s’est également impliquée concrètement dans certains programmes de l’organisme. Ainsi, la vice-présidente de la Banque Commerciale au Québec, Maria Mangiocavallo, a personnellement offert des séances de mentorat auprès des participants aux différents programmes, une expérience qu’elle qualifie d’ailleurs « d’enrichissante » pour elle-même.
« J’ai été vraiment impressionnée par la volonté et le talent des personnes qui participaient aux différents programmes du Groupe 3737 et j’ai moi-même appris des choses grâce à cette expérience. Cette association avec le Groupe 3737 est toute naturelle puisque nos deux organisations ont à cœur d’augmenter le nombre de femmes en entrepreneuriat et en technologie, tout en stimulant l’entrepreneuriat jeunesse auprès des femmes », conclut Maria Mangiocavallo.