Un virage qui facilite la communication

Offert par Les Affaires


Édition du 10 Novembre 2021

Un virage qui facilite la communication

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Édition du 10 Novembre 2021

Par Isabelle Delorme

Julie Gagné, vice-présidente au marketing et aux communications de Centraide du Grand Montréal (Photo: Natasha Silber)

PHILANTHROPIE. Pour Centraide du Grand Montréal, le virage numérique amorcé il y a environ cinq ans paraissait également incontournable, compte tenu des changements en philanthropie. « La base de donateurs est de plus en plus limitée ; ils sont beaucoup sollicités, car il y a de nouveaux joueurs et ils sont devenus plus exigeants en matière de reddition de comptes », constate Julie Gagné, vice-présidente au marketing et aux communications de l’organisme. La crise sanitaire a mis un coup d’accélérateur.

Le virage numérique s’est déployé sur les deux cibles majeures de Centraide du Grand Montréal : le grand public et le milieu de travail. « En 2020, nous avons eu un afflux de nouveaux donateurs sur notre site web, que nous avons remodelé pour faciliter les dons en ligne », explique Julie Gagné. Des outils marketing ont été mis en place pour gérer la base de donateurs et l’informer des actions menées sur le terrain grâce aux dons. 

« Nous communiquons de manière beaucoup plus fluide et automatisée, ce qui nous permet de rejoindre un plus grand nombre de donateurs », souligne la vice-présidente, qui apprécie les commentaires en temps réel quant aux ouvertures de courriels et aux lectures d’articles. Des données qui permettent de personnaliser le contenu et d’être plus pertinents.

L’organisme a également modernisé ses campagnes en milieu de travail. En 2019, une soixantaine d’organisations partenaires s’étaient dotées d’une plateforme permettant à leurs employés de faire des dons à Centraide. Avec la pandémie, le chiffre a bondi à 207 et représente 96 % des revenus de Centraide en milieu de travail. 

La complexité des plateformes est adaptée aux capacités des partenaires, qui sont accompagnés par Centraide. « C’était une révolution aussi pour nous, car nous devions connecter ces plateformes avec notre CRM (pour Customer Relationship Management, soit gestion de la relation client) », confie Marie-Hélène Laramée, vice-présidente au développement philanthropique de l’organisme qui souligne les besoins encore très présents des bénéficiaires. « La crise n’est pas terminée et notre milieu communautaire est confronté à un épuisement et à une pénurie de main-d’œuvre », constate-t-elle. 

 

Une communication fluide
Le virage numérique s’est déployé sur les deux cibles majeures de Centraide du Grand Montréal : le grand public et le milieu de travail. « En 2020, nous avons eu un afflux de nouveaux donateurs sur notre site web, que nous avons remodelé pour faciliter les dons en ligne », explique Julie Gagné. Des outils marketing ont été mis en place pour gérer la base de donateurs et l’informer des actions menées sur le terrain grâce aux dons. 
« Nous communiquons de manière beaucoup plus fluide et automatisée, ce qui nous permet de rejoindre un plus grand nombre de donateurs », souligne la vice-présidente, qui apprécie les commentaires en temps réel quant aux ouvertures de courriels et aux lectures d’articles. Des données qui permettent de personnaliser le contenu et d’être plus pertinents.
L’organisme a également modernisé ses campagnes en milieu de travail. En 2019, une soixantaine d’organisations partenaires s’étaient dotées d’une plateforme permettant à leurs employés de faire des dons à Centraide. Avec la pandémie, le chiffre a bondi à 207 et représente 96 % des revenus de Centraide en milieu de travail. 
La complexité des plateformes est adaptée aux capacités des partenaires, qui sont accompagnés par Centraide. « C’était une révolution aussi pour nous, car nous devions connecter ces plateformes avec notre CRM (pour Customer Relationship Management, soit gestion de la relation client) », confie Marie-Hélène Laramée, vice-présidente au développement philanthropique de l’organisme qui souligne les besoins encore très présents des bénéficiaires. « La crise n’est pas terminée et notre milieu communautaire est confronté à un épuisement et à une pénurie de main-d’œuvre », constate-t-elle. 

 

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