GRANDS DE LA COMPTABILITÉ. L’année 2021 d’EY a notamment été marquée par la poursuite de la cible de zéro émission nette de carbone d’ici 2025. « Nous avons affiché un bilan carbone négatif grâce à des efforts et à des investissements structurants pour réduire et compenser nos émissions totales, et non par des achats de crédits carbone », se réjouit Anne-Marie Hubert, leader pour l’est du Canada d’EY Canada. La firme a par ailleurs nommé un premier chef du développement durable en juin dernier, en la personne de Kent Kaufield.
En parallèle, EY continue d’élargir son partenariat avec Microsoft pour développer sa plateforme fiscale et met aussi au service de ses clients et de ses professionnels des outils numériques en matière de certification, de chaîne de blocs et d’utilisation des données. Le cabinet de Montréal bénéficie d’ailleurs du poids du réseau EY pour démocratiser l’accès aux données. « Plusieurs bases de données sont acquises en groupe par tous nos bureaux dans le monde et chacun paie ensuite selon son usage, ce qui permet de baisser les coûts pour nos clients », explique Anne-Marie-Hubert.
Comme partout, EY est confronté à la rareté de la main-d’œuvre, ainsi qu’au dilemme qui se pose entre le télétravail et le maintien d’une bonne culture organisationnelle. « Plusieurs de nos nouveaux employés ne sont presque jamais venus au bureau depuis le début de la pandémie, ce qui génère des défis pour transmettre notre culture, souligne Anne-Marie-Hubert. La flexibilité de travailler de la maison est importante, mais les relations interpersonnelles aussi. »