(Photo d'archive: Martin Flamand)
Pour choisir les lauréats 2023 qui seront dévoilés ce mercredi à midi, Les Affaires a mis en place un processus rigoureux de sélection, en amont et en aval.
À la suite d’un appel public, 80 dirigeants ont posé leur candidature dans les catégories Grande entreprise (500 employés et plus), Moyenne entreprise (499 à 50 employés), Petite entreprise (49 employés et moins), Jeune pousse (fondée il y a 5 ans et moins) et Économie sociale (coopérative ou OSBL).
Un premier jury interne, composé de Jean-Paul Gagné (éditeur émérite), de Marine Thomas (rédactrice en chef), de Céline Gobert (responsable des dossiers), ainsi que des journalistes François Normand, Catherine Charron, Emmanuel Martinez et Charles Poulin a d’abord eu la tâche de sélectionner cinq finalistes par catégorie.
Ces finalistes ont été évalués à partir de plusieurs critères, dont le leadership, la vision, les réalisations dans les 12 derniers mois, l’innovation, la croissance des revenus, les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), sans parler des initiatives en matière d’équité, diversité et inclusion (EDI) et du respect des parties prenantes.
Voici ce qu’ont pensé nos journalistes de leur expérience pour choisir la cuvée 2023:
«Encore une fois des choix très difficiles, ce qui démontre la grande qualité des candidatures reçues et l’intérêt des chefs d’entreprise pour les Prix PDG de l’année du journal Les Affaires.»
— Éditeur émérite et chroniqueur à Les Affaires
«Il est encourageant de constater que les leaders d’aujourd’hui se préoccupent des grands problèmes de demain et cherchent activement à y trouver des solutions.»
— Marine Thomas, rédactrice en chef
«En épluchant les candidatures, j’ai constaté que les PDG sont nombreux à s’intéresser à l’inclusion ou à l’environnement au sein de leur organisation. J’ai bien hâte de voir comment cette tendance transformera le tissu économique du Québec au cours des prochaines années.»
— Catherine Charron, journaliste spécialisée dans la thématique des ressources humaines et responsable de la rubrique quotidienne RHéveil-matin
«L’ajout de la catégorie OSBL a permis de braquer les projecteurs sur plusieurs leaders inspirants, moins visibles au sein de la communauté d’affaires et qui méritent d’être célébrés comme il se doit.»
— Céline Gobert, journaliste et responsable des dossiers spéciaux
«Le nombre élevé de patronnes avec des réussites notables est remarquable. Le futur, c’est maintenant!»
— Emmanuel Martinez, journaliste spécialisé dans les PME, l’entrepreneuriat, la productivité, le leadership, ainsi que les stratégies d’entreprise
«L’année 2023 a été un grand cru en termes de candidatures, notamment féminines. Nous avons eu de bonnes discussions à l’interne afin d’effectuer la présélection des cinq PDG finalistes pour chacune de nos catégories.»
— François Normand, journaliste spécialisé dans le commerce international, le secteur manufacturier, l’énergie et les ressources naturelles, en plus de faire des analyses géopolitiques
«On s’aperçoit, et assez rapidement, que l’entrepreneuriat québécois a une immense profondeur et ne se limite pas à seulement quatre ou cinq personnes aux réalisations magistrales. Les candidatures de très haute qualité étaient la norme, et pas seulement au sein des multinationales.»
— Charles Poulin, journaliste spécialisé dans la Bourse, les finances personnelles et l’immobilier
«Encore cette année, le nombre élevé de candidatures reçues pour la catégorie « Jeune pousse, 5 ans et moins » témoigne de la vitalité entrepreneuriale au Québec ainsi que du leadership et du courage dont font preuve les jeunes personnalités d’affaires. Non seulement ces personnes démontrent un désir d’innover et de créer de la richesse, mais aussi une réelle volonté de construire des entreprises inclusives et respectueuses de leurs employés et leurs employées.»
— Dominique Talbot, journaliste généraliste, responsable de la rubrique Solution start-up