PORTEFEUILLE. Le S&P/TSX est souvent la cible de fonds qui aiment miser contre l'indice torontois...
PORTEFEUILLE. Le S&P/TSX est souvent la cible de fonds qui aiment miser contre l’indice torontois, notamment critiqué pour sa trop grande concentration.
Les spéculateurs américains aiment par exemple vendre à découvert les banques canadiennes qu’ils jugent vulnérables à une inévitable crise immobilière.
Le fonds de couverture Crescat Capital a récemment affirmé que 80 % des sociétés canadiennes non financières accusaient des flux de trésorerie déficitaires.
Il n’en est rien, selon les économistes de Financière Banque Nationale. Seulement 36 % des sociétés non financières affichent des flux déficitaires pour les quatre derniers trimestres.
Cette proportion est conforme à la moyenne des dix dernières années et inférieure à celle de 46 % observée en 2013.