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Cessez de «snoozeRH»

Catherine Charron|Mis à jour le 26 avril 2024

Cessez de «snoozeRH»

Voici ce que vous avez (peut-être) raté cette semaine. (Photo: Zsa Fischer pour Unsplash)

RHéveil-matin est une rubrique quotidienne où l’on présente aux gestionnaires et à leurs employés des solutions inspirantes pour bien commencer leur journée. En sirotant votre breuvage préféré, découvrez des astuces inédites pour rendre vos 9@5 productifs et stimulants.


RHÉVEIL-MATIN. Entre les «tracances» de KPMG et plus de 75% des CRHA n’utilisent pas l’intelligence artificielle, voici des nouvelles en ressources humaines qui devraient avoir attiré votre attention cette semaine.

 

KPMG Canada offre à ses employés de prendre des «tracances»

Après avoir allongé d’une journée toutes les fins de semaine de juillet et d’août, voilà que KPMG Canada permet maintenant à tous ses employés de s’offrir des «tracances», selon certaines conditions.

Ainsi, peu l’importe leur ancienneté, les membres à temps plein de son équipe pourront bosser jusqu’à un mois à l’extérieur du pays, ou huit semaines dans une autre province canadienne.

 

Plus de 75% des CRHA n’utilisent pas l’intelligence artificielle

Malgré toutes les difficultés qu’éprouvent les entreprises québécoises à recruter de nouveaux travailleurs, force est de constater que rares sont celles qui ont recours à l’intelligence artificielle (IA) pour se dépanner.

C’est la conclusion que tire l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés (CRHA), après avoir sondé ses membres entre le 6 et le 19 avril 2022 au sujet de la place qu’elle occupait chez leur employeur.

 

Voici comment mieux communiquer avec vos employés

Devant la difficulté qu’ont certaines entreprises à bien communiquer leur politique de retour au travail, un spécialiste du développement professionnel a créé un outil interactif afin que leur message soit mieux reçu par leur équipe.

«Ce retour à la “normale” est souvent traité de manière maladroite voire parfois sans aucune empathie pour les employés, constate Jean-Luc Dupont. J’ai vu certains changer de job parce que cette problématique n’a pas été bien abordée. C’est un gros problème, surtout en cette période de pénurie de main-d’œuvre.»