(Photo: Andreas Klassen pour Unsplash)
BLOGUE INVITÉ. J’ai eu la chance de travailler avec des organisations considérées comme étant parmi les plus productives au monde. J’ai donc été à même de constater ce qui les différencie des moins productives.
Ça se résume à comment elles perçoivent et définissent la productivité.
Les organisations les plus productives la définissent comme une compétence à maîtriser, et non seulement une technologie à perfectionner ou à acquérir.
Pour ces organisations, cette compétence est composée de 50 % de hard et de 50 % de soft, deux parties d’une égale importance, tout en sachant qu’il n’y aura aucune pérennité en cherchant à donner plus d’importance à la partie hard.
Mais de quoi sont composées la partie hard et la partie soft? Je vous invite à me suivre lors des prochains billets afin que je vous communique ce que j’ai décodé en matière de productivité au cours des trente dernières années.
Par ailleurs, d’entrée de jeu, je vous informe d’un premier attribut essentiel de type soft qui caractérise toutes les organisations les plus exceptionnellement productives avec lesquelles j’ai travaillé : elles sont gérées par des investisseurs-opérateurs et non pas par des investisseurs-financiers.
Pour en apprendre davantage sur ces concepts, consultez mes billets qui paraîtront mensuellement.
À dans un mois!
