Logo - Les Affaires
Logo - Les Affaires

Les entreprises sur un pied d’alerte

lesaffaires.com|Publié le 09 mars 2020

Les entreprises sur un pied d’alerte

(Photo: Drew Beamer pour Unsplash)

Les entreprises doivent se préparer aux turbulences à venir et à tous les scénarios possibles.

Petite revue de presse pour savoir ce qui se fait de mieux ailleurs dans le monde.

 

En Europe: le secteur événementiel secoué

 

À lire dans Les Échos, un article étoffé sur «les reports et annulations d’événements qui se multiplient [en Europe].» «Seuls les organisateurs bien assurés en amont pourront obtenir une indemnisation. Les courtiers et les assureurs actifs sur le segment de l’assurance-annulation tels qu’Allianz, Generali, Tokio Marine HCC ou encore AXA et Circles Group se retrouvent en première ligne pour répondre aux demandes d’indemnisation des organisateurs.

 

Dans la Silicon Valley, l’ombre du cygne noir

Sequoia, l’un des principaux fonds d’investissement de la Silicon Valley, s’est adressé aux fondateurs et PDG des start-up de son portfolio dans une lettre intitulée «Coronavirus: The Black Swan of 2020». Un message est martelé, « ne survivrons pas les plus intelligents ou les plus forts, mais ceux qui seront capables de s’adapter. »

 

En France, les banques promettent d’épauler

Les petites entreprises pourront compter sur l’aide des banques si leur activité est impactée par le développement de l’épidémie du coronavirus. C’est la promesse qu’a faite l’industrie bancaire française la semaine dernière. À lire dans Le Figaro.

Le coronavirus va tuer plus de PME que d’humains

Avec un titre aussi impitoyable, Eric Le Boucher, parle d’une crise est plus économique que sanitaire. «L’éclatement des chaînes de production lui permet de bloquer l’offre, le règne de l’émotion « virale », grâce aux réseaux sociaux, lui permet de glacer la demande. Son impact sera conjoncturellement dur et structurellement durable.» 

 

 

 

Le coronavirus va tuer plus de PME que d’humains 

Avec un titre aussi impitoyable, Eric Le Boucher, parle d’une crise est plus économique que sanitaire. «L’éclatement des chaînes de production lui permet de bloquer l’offre, le règne de l’émotion « virale », grâce aux réseaux sociaux, lui permet de glacer la demande. Son impact sera conjoncturellement dur et structurellement durable.» 

 

Consulter notre dossier Covid-9: des trucs pour ne pas céder à la panique.