Les principaux domaines de conflit sont la diversité et l’inclusion, les salaires, la sécurité d’emploi, les retraites et les conditions de travail. (Photo: La Presse Canadienne)
Toronto — Le Globe and Mail et un syndicat représentant quelque 250 de ses employés ont conclu une entente de principe pour une nouvelle convention collective.
La section locale 87-M d’Unifor a indiqué que les employés de la salle de rédaction, de la publicité et des activités tiendraient un vote de ratification sur l’entente conclue avec le quotidien national.
Le président de la section locale, Paul Morse, a expliqué que le syndicat présenterait l’entente de principe à ses membres jeudi, et que ceux-ci auraient jusqu’à 20 h pour voter par voie électronique.
La responsable des communications internes du journal, Lanna Crucefix, a confirmé par courriel que l’entreprise et Unifor étaient parvenus à un accord de principe sur la convention collective, sous réserve de ratification.
Paul Morse a précisé que le syndicat avait reçu un mandat de grève de ses membres.
Les principaux domaines de conflit sont la diversité et l’inclusion, les salaires, la sécurité d’emploi, les retraites et les conditions de travail, selon Unifor.
Fondé en 1844, le Globe and Mail appartient à Woodbridge, la division d’investissement de la famille Thomson, la famille la plus riche du Canada.