Qantas serait gangrénée par le crime organisé, d'après les services de renseignement australiens. (Photo: 123RF)
10 CHOSES À SAVOIR. Le crime organisé s’est infiltré chez Qantas, le rôle de la nature pour combattre les changements climatiques et un gros problème de «morve de mer» qui n’a rien de drôle: voici 10 nouvelles à lire en ce mardi 8 juin 2021.
1. La ligne aérienne Qantas serait infiltrée par le crime organisé, selon le Sydney Morning Herald. Jusqu’à 150 membres du personnel de l’entreprise seraient liés à la criminalité, d’après une enquête des autorités australiennes. Peu de détails ont filtré sur l’enquête, mais il a été révélé que des membres du personnel de Qantas facilitent aux criminels l’importation de drogue et autres marchandises illicites.
2. La fin de la pénurie de micropuces électroniques n’est pas pour demain. Selon Flex, l’un des plus gros manufacturiers du monde de semi-conducteurs ne voit pas de fin à la crise avant la deuxième moitié de l’année 2022, indique le Financial Times. Les prévisions ont été repoussées en raison de la demande très forte.
3. Une grande conférence sur le bitcoin s’est tenue en Floride. Entre vendredi et dimanche, au moins 12 000 passionnés de la cryptomonnaie ont assisté à la conférence Bitcoin 2021 à Miami, le premier événement corporatif de grande envergure en personne depuis le début de la pandémie, affirme le New York Times.
4. Bloomberg analyse pourquoi AMC a réussi où GameStop a échoué après la montée en flèche de ses actions soutenues par de petits investisseurs. La chaîne de cinémas américains, dont le titre appartient à 80% à des particuliers, leur a déroulé le tapis rouge et les a accueillis à bras ouverts, tandis que GameStop est demeuré muette et n’a rien fait pour profiter de la manne.
Les écosystèmes naturels canadiens peuvent aider à combattre les changements climatiques, selon une étude. Sur la photo, le parc du mont Orford. (Photo: Guillaume Techer pour Unsplash)
5. Une nouvelle étude publiée vendredi montre le rôle de la nature pour combattre les changements climatiques au Canada. D’après la recherche, qui est relayée par le Globe and Mail, le pays pourrait parvenir à réduire ses émissions de gaz carbonique de 78 mégatonnes par année en 2030.
6. Twitter a été banni au Nigeria. TechCrunch rapporte que le régulateur des communications du pays demande à tous les diffuseurs de cesser d’utiliser le réseau social. Un tweet controversé du président nigérien a été supprimé par Twitter il y a quelques jours.
7. Le masque a eu son utilité pour prévenir la COVID-19, selon un nouveau sondage commandé par Axios. Les personnes qui n’ont jamais porté de masque ont été deux fois plus nombreuses à être déclarées positives à la COVID-19 que celles qui ont porté un masque en tout temps.
8. Au Pakistan, une collision entre deux trains a causé la mort d’au moins 40 personnes. Selon BBC, un premier train a déraillé pour se retrouver sur une autre voie, où passait un second train rempli de passagers. Des dizaines de personnes ont été blessées, et le bilan meurtrier pourrait s’alourdir.
9. Un artiste italien a vendu une sculpture invisible. On peut lire sur Artnet que Salvatore Garau a reçu 15 000 euros (22 000 $) pour son œuvre, qui ne consiste, en fait, d’absolument rien. Voilà une œuvre qui demande beaucoup d’imagination…
10. La Turquie est aux prises avec un gros problème de «morve de mer». La mer de Marmara est remplie d’une substance grise et visqueuse à sa surface qui s’est formée en raison de la pollution dans l’eau et des changements climatiques. Elle met en danger la circulation maritime et la vie aquatique.
Turkey’s President Erdogan has promised to save the country’s seas from « sea snot, » a slimy sludge that could endanger marine life and the fishing industry.
Take a look at Turkey’s Sea of Marmara amid the largest outbreak of « sea snot » on record.https://t.co/TM7xfVTrxY pic.twitter.com/x8IS8ScUJC
— Insider (@thisisinsider) June 6, 2021
NDLR: L’article des «10 choses à savoir» reste un exercice de revue de presse. Les avis et opinions qui y sont rapportés ne reflètent pas nécessairement ceux et celles de la rédaction de Les Affaires.