Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) a déjà déposé des demandes de médiation pour ses deux grandes unités qui sont concernées par la présente négociation, soit celle des 4000 ouvriers et celle des 26 000 fonctionnaires. (Photo: La Presse Canadienne)
Les deux derniers syndicats du secteur public à n’avoir toujours pas conclu d’entente avec Québec espèrent que la récente proposition de règlement convenue entre Québec et la FIQ donnera l’élan voulu à leur propre négociation.
Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) a déjà déposé des demandes de médiation pour ses deux grandes unités qui sont concernées par la présente négociation, soit celle des 4000 ouvriers et celle des 26 000 fonctionnaires.
En vertu de la Loi sur le régime de négociations des conventions collectives dans les secteurs public et parapublic, l’étape de la médiation est une sorte de passage obligé avant l’obtention du droit de grève.
Du côté du Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ), on place aussi ses espoirs dans la médiation et on espère que le tour est venu pour les deux syndicats qui restent.
Quelque 26 000 membres dans la fonction publique sont concernés au SPGQ. Il s’agit, par exemple, d’analystes en informatique, d’inspecteurs, de comptables, de biologistes.
Lia Lévesque, La Presse Canadienne