J.A. - Je roule au minimum 25 000 km par an. Il y a là-dedans une bonne vingtaine d'allers- retours entre Montréal et Québec. Je me déplace régulièrement pour présenter des conférences. À ce propos, l'espace arrière du Jeep Wrangler est très pratique pour le transport d'équipement et d'accessoires.

L.A. - Vous aimez donc conduire ?

J.A. - J'adore être au volant. Et plus particulièrement dans les grandes villes. Avec un GPS, tout est tellement différent. En septembre dernier, j'étais à Paris. Un de mes amis qui travaille chez Renault m'a prêté une Mégane Coupé Cabriolet. Quel plaisir de pouvoir conduire autour de l'Arc de triomphe ! Même chose à New York, où je me rends deux à trois fois par année. Remarquez, si j'aime conduire dans la Grosse Pomme, je déteste, en revanche, m'y rendre... C'est long et ennuyant comme trajet.

L.A. - Y a-t-il un gadget à bord qui vous fascine ?

J.A. - Le démarreur à distance. C'est la première fois que j'en ai un. Quelle belle invention ! C'est très pratique comme accessoire, particulièrement l'hiver avec les enfants. Le véhicule est déjà chaud au moment de partir.

L.A. - Quels sont vos plus beaux souvenirs sur la route ?

J.A. - Je me rappelle encore du trajet entre Las Vegas et Los Angeles. J'avais une Sebring décapotable de location. J'ai eu droit à un paysage désertique digne des road movies américains. Les routes qui serpentent entre les volcans et longent vertigineusement la mer à Big Island, à Hawaï, constituent aussi de belles expériences.

L.A. - Après la Jeep, quelle voiture rêvez-vous de conduire ?

J.A. - Si un jour j'ai le budget, j'aimerais m'acheter une Classe G de Mercedes-Benz. Le design et les lignes carrées de ce 4 x 4 racé me fascinent. Mais pour l'instant, à ce prix, je préfère m'acheter un chalet.

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