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Cessez de «snoozeRH»

Catherine Charron|Publié le 18 février 2022

Cessez de «snoozeRH»

Voici ce que vous avez (peut-être) raté cette semaine. (Photo: 123RF)

RHéveil-matin est une rubrique quotidienne où l’on présente aux gestionnaires et à leurs employés des solutions inspirantes pour bien commencer leur journée. En sirotant votre breuvage préféré, découvrez des astuces inédites pour rendre vos 9@5 productifs et stimulants.


RHÉVEIL-MATIN. Entre le «ghosting» très dommageable des candidats et le rapport sur l’emploi au Québec en 2021, voici des nouvelles en ressources humaines qui devraient avoir attiré votre attention cette semaine.

 

Cessez de «ghoster» les candidats

Vous éprouvez de la difficulté à recruter? Il y a de fortes chances que ce soit à cause de vos techniques d’embauche désuètes «qui font fuir les bons candidats», affirme Daniel Chait, le PDG de Greenhouse Candidate Experience.

Selon 60% des chercheurs d’emplois sondés par la firme américaine, les processus de recrutement par lesquels ils sont passés n’étaient pas à la hauteur de leurs attentes. Si ça accroche dès votre premier contact avec le travailleur convoité, ce dernier risque donc de prendre un autre appel.

 

L’amour est plus fort que la pandémie… même au travail

La distanciation sociale, le télétravail ainsi que les autres restrictions sanitaires n’auront pas été de taille pour empêcher l’amour de faire son petit bonhomme de chemin dans les milieux de travail, selon un sondage mené par la Society for Human Resource Management (SHRM).

En 2022, 33% des 550 Américains interrogés ont avoué entretenir, ou du moins avoir entretenu, une idylle avec un collègue. Semblable en 2021, ce nombre est en croissance, car 27% des répondants avaient tenu un propos similaire en 2020.

 

Avez-vous peur de l’épuisement professionnel?

Il y a de ses expériences qui nous marquent aux fers rouges. Pour JF Côté, le président de Sharethrough, c’est l’épuisement professionnel de son père qui a complètement bouleversé la vie de ce petit bonhomme d’une douzaine d’années.

Trente-deux ans plus tard, «ma plus grande crainte en tant que gestionnaire, c’est qu’un employé me dise qu’il est en “burn-out”, avoue celui qui dirige la boîte de publicité programmatique. Ça veut dire que je n’ai pas été assez ouvert pour identifier comment il allait. Ça a toujours été au cœur de mon leadership.»

 

Le nouveau visage du marché de l’emploi

Tandis que la pénurie de main-d’œuvre est revenue de plus belle hanter les entreprises depuis la reprise économique, l’Institut du Québec s’inquiète que les organisations perdent en compétitivité si elles ne misent pas sur la formation de leurs travailleurs.

Dans son Bilan 2021 de l’emploi du Québec, elle souligne que certains patrons sont plus ouverts qu’il y a deux ans à revoir à la baisse l’expérience et les aptitudes requises pour combler un de leurs postes.

 

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