Des tracances pour «répondre aux besoins des travailleurs de demain»
lesaffaires.com|Mis à jour le 27 août 2024«Les employés travaillent le plus souvent depuis leur résidence, mais aussi dans des cafés.» (Photo: 123RF)
Dans la série hebdomadaire POUR OU CONTRE LE TÉLÉTRAVAIL, Les Affaires met de l’avant les meilleures pratiques de l’un et l’autre des camps, afin de rallier à leur position leurs salariés et de faire prospérer l’organisation. Suivez le débat!
Qui: Carl Talbot
Entreprise: gouvernement du Québec
Secteur: services publics
Plus de 500 employés
Quelle formule a été adoptée?
Hybride, 1 à 2 journées par semaine au bureau
Décrivez-nous où travaillent habituellement les employés:
À la maison
Était-ce la formule appliquée avant février 2020?
Non
Pourquoi avez-vous choisi cette formule?
Nous avons choisi cette formule à la suite de la pandémie. Notre politique de télétravail a été développée à partir de sondages et des décisions du gouvernement.
Quels sont les facteurs, les politiques et les dispositions qui font en sorte que cette formule fonctionne pour votre entreprise?
La formule hybride permet de trouver un équilibre entre le travail et la vie personnelle, et de réduire les conséquences environnementales des déplacements.
Au cours des prochains mois, l’organisation du travail changera-t-elle?
Non
Quelle est votre position à l’égard du télétravail, du présentiel et du mode de travail hybride?
Je pense que la formule hybride d’un à deux jours au bureau par semaine (en moyenne, et non pas une obligation), gérée de façon autonome et avec souplesse par les directions, est préférable.
Aussi, il serait souhaitable d’instaurer des tracances (télétravail et vacances à l’étranger) afin de répondre aux besoins des travailleurs d’aujourd’hui et de demain, et afin que le gouvernement soit davantage attractif.