Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine
lesaffaires.com|Publié le 04 mars 2022(Photo: 123RF)
Quels titres boursiers et rapports d’analystes ont retenu l’attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.
28 février
À surveiller
Bombardier (BBD.B, 1,59 $): la compagnie semble en bien meilleure position, selon l’analyste de la BMO. Le constructeur d’avions d’affaires tenait la semaine dernière sa journée des investisseurs 2022, et Fadi Chamoun, analyste chez BMO Marchés de capitaux, semble avoir apprécié ce qu’il a entendu.
Quebecor (QBR.B, 27,51 $): le recul du titre crée une belle occasion d’achat selon l’analyste de Desjardins. Les résultats du 4e trimestre de la firme active dans la câblodistribution, l’Internet et la téléphonie n’ont pas été très bons, si bien que le titre a rapidement cédé 5%.
Banque CIBC (CM, 163,61 $): Ce n’est plus la banque d’autrefois, selon l’analyste de la Banque Nationale. La Banque CIBC est souvent perçue comme ayant un faible taux de croissance, mais il semble bien que les résultats du dernier trimestre puissent aider à modifier cette perception, explique Gabriel Dechaine, analyste à la Banque Nationale.
Pour consulter les titres du 1er mars, cliquez suivant.
1er mars
Dans les Titres en action:
Stellantis
Stellantis (STLA.PA, 15,80 €)compte doubler son chiffre d’affaires (152 milliards d’euros en 2021) d’ici à 2030 en profitant de l’électrification du marché et de gains de productivité, a annoncé le groupe mardi. Le groupe issu de la fusion de Peugeot-Citroën et Fiat-Chrysler vise 200 milliards de chiffre d’affaires en 2024 et compte également maintenir des «marges opérationnelles courantes à deux chiffres tout au long de la décennie», a précisé le groupe en présentant sa stratégie à Amsterdam.
Stellantis compte notamment sur des ventes à 100% électriques en Europe à l’horizon de 2030 et 50% aux États-Unis, la vente de logiciels et de services en ligne. Le groupe aux 300 000 salariés compte notamment atteindre 20 milliards de chiffres d’affaires en Chine en 2030 via Jeep, Peugeot et Citroën, devenir leader en Europe devant Volkswagen, et électrifier le marché américain.
Il vise à diminuer de 40% ses coûts de conception et de distribution des véhicules, et enregistrer les 5 milliards d’économies liés à la fusion d’ici fin 2024. Le groupe compte également atteindre 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires dans les services de mobilité. Ses services bancaires devraient également doubler leur chiffre d’affaires pour atteindre 5,8 milliards d’euros en 2030. Les ventes de pièces détachées devraient également augmenter de 50% pour atteindre 20 milliards d’euros.
BMO Groupe financier
BMO Groupe financier (BMO.TO, 144,73 $) rapporte de fortes hausses de ses bénéfices au premier trimestre de 2022 par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le bénéfice net a bondi de 45%, ayant augmenté à 2,93 milliards de dollars, alors que le bénéfice net ajusté a progressé de 27%, à 2,58 G$. Le bénéfice net par action comptable s’est établi à 4,43 $, en hausse de 46%, alors que le bénéfice par action comptable ajusté s’est élevé à 3,89 $, en hausse de 27%. BMO Groupe financier explique la croissance des bénéfices net et ajusté par la forte croissance des revenus, l’augmentation des charges et le recouvrement de pertes sur créances.
Du premier trimestre de 2021 à celui de l’exercice en cours, les revenus de l’institution ont progressé de 6,975 milliards $ à 7,723 milliards $. Le chef de la direction de BMO Groupe financier, Darryl White, attribue aussi l’ampleur des bénéfices du dernier trimestre aux activités des Services bancaires particuliers et entreprises au Canada et aux États-Unis, à une accélération de la croissance des prêts aux entreprises et à la vigueur continue des activités de BMO Marchés des capitaux.
D’autre part, BMO Groupe financier annonce un dividende de 1,33 $ par action ordinaire pour le deuxième trimestre de 2022, soit le même montant que pour le trimestre précédent et en hausse de 25% par rapport à l’exercice précédent.
Banque Scotia
Le bénéfice net du premier trimestre de l’exercice 2022 de la Banque Scotia (BNS.TO, 91,85 $) s’est élevé à 2,74 milliards de dollars comparativement à 2 398 G$ au trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le bénéfice dilué par action a progressé pendant la même période de 1,86 $ à 2,14 $. Le bénéfice net ajusté est passé de 2 418 G$ à 2 758 G$ alors que le bénéfice dilué par action a avancé de 1,88 $ à 2,15 $.
L’institution précise que le bénéfice net ajusté dégagé pendant le trimestre par le Réseau canadien a progressé de 32% par rapport à l’exercice précédent, grâce, notamment, à l’augmentation des revenus. Le bénéfice net ajusté des Opérations internationales a quant à lui avancé de 38% par rapport à l’exercice précédent.
Commerzbank
La deuxième banque allemande Commerzbank (CBK.DE, 7,09 €) a relevé mardi ses objectifs financiers pour 2024 après avoir renoué avec les bénéfices l’an dernier et nonobstant la volatilité accrue liée à la guerre en Ukraine. L’établissement vise désormais un chiffre d’affaires de 9,1 milliards d’euros en 2024, grâce à de meilleures recettes espérées auprès de ses clients et chez sa filiale polonaise mBank, selon un communiqué publié lors de sa journée investisseurs. Il s’agit d’un relèvement de 600 millions d’euros par rapport à la valeur communiquée début 2021 lors de l’annonce du plan stratégique à horizon 2024.
Cette stratégie axée sur le virage vers le numérique vise à terme la réduction de 10 000 postes à temps plein et une rentabilité de 7% rapportée aux capitaux investis. La filiale mBank doit bénéficier de la hausse des taux d’intérêt en Pologne, explique le groupe. La banque présidée par Manfred Knof n’a en revanche pas tenu compte de modifications des taux d’intérêt par la Banque centrale européenne (BCE), de nature à lui procurer «des recettes substantielles», selon le communiqué. L’exposition de Commerzbank en Russie et en Ukraine est «restreinte», indique la banque. Elle détient notamment en Russie un portefeuille de 1,3 milliard d’euros, soit 0,4% de son exposition nette globale. Alors que l’offensive russe s’intensifie chaque jour en Ukraine, Commerzbank ajoute ne pas avoir pris en compte dans ses calculs des «effets de la situation volatile» générée par ce conflit.
Le résultat opérationnel de Commerzbank devrait lui atteindre 3 milliards d’euros en 2024, contre 2,7 milliards attendus auparavant et 1,2 milliard affiché en 2021. Il est prévu des versements de dividendes et programmes de rachats d’actions dans un volume total «entre 3 et 5 milliards d’euros» jusqu’au titre de l’exercice 2024.
À surveiller
Banque Nationale (NA, 102,78 $): des résultats solides. La Banque Nationale du Canada a présenté des résultats financiers solides pour son premier trimestre de 2022, et même si elle croit que son potentiel de croissance va ralentir, la Banque Royale maintient son cours cible de 111 $.
Fiera Capital (FSZ, 10,31 $): des coentreprises qui ajoutent de la valeur. Le potentiel des coentreprises de placements alternatifs privés de Fiera Capital représente un trésor caché de potentiels revenus et rendement.
Pet Valu (PET, 30,09 $): une acquisition qui ouvre les portes du Québec. Avec l’acquisition de la chaîne Franchises Chico, Pet Valu fait son entrée au Québec en obtenant 66 points de services.
Pour consulter les titres du 2 mars, cliquez suivant.
2 mars
Dans les Titres en action:
George Weston
George Weston (WN.TO) a affiché mercredi un bénéfice pour son quatrième trimestre, dans la foulée de la vente de Weston Foods. La société a vendu ses activités de boulangerie dans le cadre de deux ententes distinctes qui ont été conclues en décembre, pour un produit brut total de 1,47 milliard $.
George Weston, qui détient une large participation dans les Compagnies Loblaw (L.TO) et dans le fonds de placement immobilier Propriétés de Choix (CHP.UN), a affiché mercredi un profit attribuable aux actionnaires ordinaires de 217 millions $, ou 1,44 $ par action, pour son quatrième trimestre, en baisse par rapport à celui de 289 millions $, ou 1,88 $ par action, pour la même période un an plus tôt.
Cependant, le profit attribuable aux actionnaires ordinaires tiré des activités poursuivies a totalisé 418 millions $, ou 2,80 $ par action, en hausse par rapport à celui de 264 millions $, ou 1,72 $ par action, pour le quatrième trimestre de 2020. Les revenus pour la période de 12 semaines terminée le 31 décembre ont totalisé 12,90 milliards $, un chiffre d’affaires en baisse par rapport à celui de 13,43 milliards $ de la période de 13 semaines qui avait pris fin le 31 décembre 2020. Sur une base ajustée, George Weston a indiqué que son profit des activités poursuivies avait totalisé 2,32 $ par action pour son plus récent trimestre, en hausse par rapport à celui de 1,74 $ par action pour la même période un an plus tôt.
Banque Laurentienne du Canada
La Banque Laurentienne du Canada (LB.TO, 41,65 $) a dépassé les attentes et déclaré un bénéfice de 55,5 millions de dollars au premier trimestre, en hausse par rapport à 44,8 M$ il y a un an. La banque basée à Montréal affirme que son bénéfice net s’est élevé à 1,17 $ par action diluée pour le trimestre terminé le 31 janvier, en hausse par rapport à 96 cents par action diluée au même trimestre un an plus tôt.
Les revenus ont totalisé 257,5 M$ pour le trimestre, en hausse par rapport aux 247,4 M$ du premier trimestre de l’exercice précédent. La Laurentienne affirme que ses provisions pour pertes sur créances se sont élevées à 9,4 M$ pour le trimestre, contre 16,8 M$ un an plus tôt, les provisions moins élevées sur les prêts dépréciés ayant été contrebalancées en partie par les provisions plus élevées sur les prêts productifs.
Sur une base ajustée, la Laurentienne affirme avoir gagné 1,26 $ par action diluée au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 1,03 $ par action diluée un an plus tôt. Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 1,20 $ par action, selon la société de données sur les marchés financiers Refinitiv. «La Banque a démarré l’exercice en force, grâce au solide rendement des Services aux entreprises, à l’accent que nous continuons de mettre sur le contrôle des coûts et à la bonne qualité du crédit», a déclaré la présidente et chef de la direction Rania Llewellyn dans un communiqué.
Ford
Le constructeur automobile américain Ford (F, 16,70 $US) a annoncé mercredi la création d’une nouvelle entité consacrée à ses voitures électriques, Ford Model e, tandis que ses activités traditionnelles seront rassemblées sous la marque Ford Blue. Une troisième entité, Ford Pro, doit rassembler les services de productivité proposés aux entreprises.
Début février, le PDG Jim Farley avait expliqué combien les activités électriques et thermiques étaient différentes à gérer, notamment en termes de rythme, et la rumeur d’une séparation des entreprises courait depuis des semaines en Bourse. «Nous avons fait d’immenses progrès en peu de temps», a expliqué M. Farley mercredi, citant les lancements réussis du pick-up et du VUS électriques F-150 et Mustang Mach-E. «Mais notre ambition est de redevenir une grande entreprise qui change le monde, et ça demande de la concentration».
Le groupe a également annoncé un relèvement de certains de ses objectifs à long terme: il vise la production de deux millions de véhicules électriques par an d’ici 2026, soit un tiers de sa production mondiale, pour atteindre la moitié en 2030. Il va multiplier par deux ses investissements dans l’électrique dès 2022, pour atteindre 5 milliards de dollars américains. Ford prévoit d’enregistrer une marge opérationnelle de 10% d’ici 2026, avec de meilleures ventes, une «amélioration» du coût des véhicules électriques, et une baisse «significative» des coûts de la filière thermique, à 3 G$ US.
Netflix
Netflix (NFLX, 386,24 $US) a annoncé mercredi qu’il comptait acquérir le studio finlandais de jeux vidéo Next Games, un projet qui confirme l’ambition du géant américain du streaming d’étendre ses activités dans l’industrie vidéoludique. Le montant de la transaction, financée en espèces par le rachat des actions de Next Games, est estimé à environ 65 millions d’euros, a indiqué Netflix.
Fondé en 2013, Next Games développe des jeux mobiles issus de l’univers des séries à succès «The Walking Dead» et «Stranger Things», toutes deux diffusées sur Netflix. Selon son patron, Teemu Huuhtanen, l’objectif du studio finlandais est de «devenir un partenaire de choix pour l’industrie mondiale du divertissement en se basant sur les franchises les plus populaires de la planète».
L’action de Next Games, cotée à la Bourse d’Helsinki, s’envolait de près de 120% après l’annonce de Netflix mercredi. Concurrencé par d’autres plateformes de streaming, comme Disney + ou HBO Max, Netflix cherche à se diversifier, notamment en se renforçant dans le secteur très lucratif des jeux vidéo.
Le groupe californien avait annoncé en septembre dernier l’acquisition de son premier studio de jeux vidéo, Night School Studio, qui s’est fait connaître en créant le thriller surnaturel «Oxenfree». En novembre, Netflix a lancé plusieurs jeux mobiles que les abonnés peuvent télécharger gratuitement depuis leur appareil équipé du système d’exploitation iOS ou Android.
À surveiller
Banque TD (TD, 98,91 $): une acquisition de taille qui ne sera pas un élément catalyseur pour le prix de l’action. Lundi, la Banque TD annonçait une transaction de taille aux États-Unis en achetant First Horizon Bank, une banque du Tennessee, pour un montant de 13,4 milliards $US, soit une prime de 37% sur le prix de clôture de la veille.
Banque de Montréal (BMO, 144,67 $): elle surpasse les attentes grâce à ses activités sur les marchés de capitaux. Les résultats du 4e trimestre ont aisément excédé les prévisions des analystes, et ils s’expliquent principalement par les profits générés par les opérations sur les marchés des capitaux ainsi que par une diminution des provisions pour pertes sur prêts, note Gabriel Dechaine, analyste à la Banque Nationale.
Banque Scotia (BNS, 90,89 $): les progrès se poursuivent à l’international. Au 1er trimestre, la Banque Scotia a réalisé des bénéfices par action de base de 2,15 $, alors que Gabriel Dechaine, analyste à la Banque Nationale, avait prévu 2,06 $.
Pour consulter les titres du 3 mars, cliquez suivant.
3 mars
Dans les Titres en action:
Canadian Natural Resources
Canadian Natural Resources (CNQ.TO, 71,67 $) a annoncé jeudi une hausse de son dividende trimestriel alors qu’elle affichait un profit du quatrième trimestre de 2,53 milliards de dollars, en hausse par rapport à celui de 749 millions $ de la même période un an plus tôt. La société versera désormais un dividende trimestriel de 75 cents par action, alors que celui-ci était précédemment de 58,75 cents par action.
Canadian Natural a réalisé un bénéfice de 2,14 $ par action pour son trimestre clos le 31 décembre, ce qui se comparait à un bénéfice par action de 63 cents pour les trois derniers mois de 2020. Les revenus trimestriels ont totalisé 9,21 milliards $, en hausse par rapport à ceux de 5,02 milliards $ enregistré lors de la même période un an plus tôt.
La production a atteint en moyenne l’équivalent de 1 313 900 barils de pétrole par jour au cours du trimestre, ce qui était en hausse par rapport à 1 201 198 barils par jour pendant la même période un an plus tôt. Sur une base ajustée, Canadian Natural a affiché un profit tiré des activités de 2,21 $ par action, en hausse par rapport à celui de 15 cents enregistré lors de la même période un an plus tôt.
SNC-Lavalin
Groupe SNC-Lavalin (SNC.TO, 28,61 $) rapporte jeudi que le résultat net négatif attribuable aux actionnaires provenant des activités poursuivies s’est chiffré à 15,3 millions de dollars, ou 0,09 $ par action après dilution au 4e trimestre de 2021 comparativement au résultat net négatif de 322,9 M$, ou 1,84 $ par action après dilution au 4e trimestre de 2020. La firme montréalaise d’ingénierie ajoute que les produits du quatrième trimestre de 2021 ont été de 1,9 G$, soit une augmentation de 14,5% par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. L’entreprise précise que les produits de SNCL Services d’ingénierie ont totalisé 1,7 G$, une augmentation comparativement à 2020.
Pour l’ensemble de l’exercice 2021, Groupe SNC-Lavalin a dégagé des produits de 7,4 G$, 5,2% plus élevés qu’à l’exercice précédent. Le résultat net attribuable aux actionnaires de SNC-Lavalin provenant des activités poursuivies a atteint 100,2 M$, ou 0,57 $ par action après dilution, comparativement à une perte de 356,1 M$, ou de 2,03 $ par action après dilution en 2020.
Le président et chef de la direction de Groupe SNC-Lavalin, Ian L. Edwards, a observé un solide rendement de fin d’année 2021 des activités de Services d’ingénierie. M. Edwards constate que ce secteur continue d’afficher un rendement élevé, l’entreprise tirant profit de ses capacités mondiales. Le conseil d’administration de Groupe SNC-Lavalin déclare un dividende en trésorerie de 0,02 $ par action, soit le même qu’au trimestre précédent. Le dividende sera payable le 31 mars prochain.
Banque TD
Le Groupe Banque TD (TD.TO, 101,49 $) annonce qu’au premier trimestre clos le 31 janvier dernier, son résultat net a atteint 3,7 milliards de dollars, en hausse de 14% par rapport à celui du trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat net rajusté s’est élevé à 3,8 G$, en hausse de 13%. Pendant la même période, le résultat dilué par action a progressé, de 1,77 $ à 2,02 $, alors que le résultat dilué par action rajusté a lui aussi avancé, de 1,83 $ à 2,08 $.
Le résultat net du secteur Services de détail au Canada s’est établi à 2 254 G$, en hausse de 11% en un an, grâce surtout à des produits records et à une baisse des provisions pour pertes sur créances, en partie contrebalancés par une augmentation des charges autres que d’intérêts. Entre-temps, le résultat net du secteur Services de détail aux États-Unis s’est établi à 1 272 G$ CAN, en hausse de 27% par rapport à celui du premier trimestre de l’exercice précédent.
Bharat Masrani, président du Groupe et chef de la direction de Groupe Banque TD, observe que dans l’ensemble, la Banque a connu un excellent trimestre. Il signale qu’elle a démarré l’exercice en force en générant une croissance des produits pour l’ensemble de ses secteurs, alors que les activités de la clientèle ont connu un essor. Groupe Banque TD annonce un dividende de 0,89 $ par action ordinaire entièrement libérée du capital-actions de la Banque pour le trimestre se terminant le 30 avril prochain. Au lieu de recevoir des dividendes en espèces, les porteurs d’actions ordinaires ont l’option de les réinvestir dans des actions ordinaires supplémentaires de la Banque.
À surveiller
Domino’s Pizza (DPZ, 423,25 $US): le pire est passé. Le quatrième trimestre aura été difficile pour Domino’s Pizza, mais Banque Royale (RBC) Marchés des capitaux estime que le pire est passé, même si les pressions sur l’embauche de personnel risquent de persister encore à court terme.
GDI Integrated Facility Services (GDI.TO, 54,55$): une intéressante année en vue. GDI Integrated Facility Services a présenté de solides résultats au quatrième trimestre, autant du côté de la croissance organique que des fusions et acquisitions, et l’entreprise est demeurée résiliente face à la vague Omicron.
BRP (DOO.TO, 92,48 $): une valorisation attirante. Bombardier Produits récréatifs (BRP) présentera ses résultats financiers du quatrième trimestre le 25 mars, mais, déjà, Banque Nationale Marchés financiers estime que sa valorisation est attirante.
Pour consulter les titres du 4 mars, cliquez suivant.
4 mars
À surveiller
George Weston (WN, 139,51 $): un rachat d’action réduirait son escompte. En accélérant son rachat d’actions, George Weston pourrait bien réduire la décote que son titre subit présentement, croit Chris Li de Valeurs mobilières Desjardins.
SNC-Lavalin (SNC, 28,19$): les prévisions se gâtent. Si les services d’ingénierie de SNC-Lavalin ont très bien performé au quatrième trimestre, force est de constater que le scénario est bien différent du côté de ses projets, fait remarquer Sabahat Khan de RBC Marchés des capitaux.
Constellation Software (CSU, 2213,30$): une saine acquisition. La société torontoise Constellation Software a annoncé mercredi qu’elle mettra la main sur certains actifs de l’américaine Allscripts pour 700 millions de dollars américains (M$ US).