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Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

lesaffaires.com|Publié le 11 mars 2022

Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

(Photo: 123RF)

BRP (DOO-T, 118,17$, DOOO-N, 94,02 $US): plein gaz
Malgré un inventaire réduit, BRP est parvenue à dépasser les attentes des analystes au cours du deuxième trimestre de son exercice de 2022, et elle compte bien poursuivre sur ce sentier malgré les embûches qui pointent à l’horizon, croit Brian Morrison de TD Securities.

Quels titres boursiers et rapports d’analystes ont retenu l’attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

07 mars

 

À surveiller

Canadian Natural Resources (CNQ, 75,04 $): dans une ligue à part. Grâce à des prix obtenus plus élevés et des coûts d’opération plus bas, l’exploitant entre autres de sables bitumineux de l’Alberta a annoncé avoir généré à son 4e trimestre des flux de trésorerie qui ont excédé les attentes.

MEG Energy (MEG, 18,24 $): une solide poussée boursière qui pourrait se poursuivre selon l’analyste de la BMO. Depuis le début de l’année, le cours de l’action de cet autre exploitant de sables bitumineux de l’Alberta a bondi de 50%, et étant donné qu’elle prépare un programme de rachats d’actions, la bonne tenue du titre pourrait bien se poursuivre, note Randy Ollenberger, analyste chez BMO Marchés des capitaux.

Parkland Corporation (PKI, 33,31 $): bonne réaction aux résultats du 4e trimestre. Les résultats du 4e trimestre de l’opérateur de dépanneurs et de stations-service de Calgary ont certainement plu aux investisseurs, car le cours de l’action a grimpé de 6,35% durant la séance de négociations qui a suivi.

 

Pour consulter les titres du 08 mars, cliquez suivant.

08 mars

 

Dans les Titres en action:

Transcontinental

Transcontinental (TCL-A.TO, 18,56 $) a fait état mardi d’un bénéfice net attribuable aux actionnaires en baisse d’environ 33% pour son plus récent trimestre, malgré une hausse de ses revenus, l’arrivée du variant Omicron ayant perturbé ses activités. L’entreprise montréalaise active dans les secteurs de l’impression, des médias et de l’emballage a indiqué avoir engrangé un profit de 18,4 M$, soit 21 cents par action, pour son premier trimestre, un résultat en baisse par rapport à celui de 27,7 M$, ou 32 cents par action, de la même période un an plus tôt.

Le bénéfice ajusté, qui exclut les éléments non récurrents, s’est chiffré à 30 M$, ou 35 cents par action, comparativement à celui de 43,8 M$, ou 50 cents par action, du premier trimestre précédent.

Les revenus pour le trimestre clos le 30 janvier ont totalisé 690,6 M$, ce qui représentait une hausse de 10,9 % par rapport à ceux de 62,7 M$ de la même période l’an dernier, essentiellement grâce à la hausse des prix de la résine et aux acquisitions.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un profit ajusté de 51 cents par action à partir de revenus de 676,7 M$, selon les prévisions recueillies par la firme de données financières Refinitiv.

 

Air Transat

Air Transat (TRZ.TO, 4,23 $) et Porter Airlines ont signé une entente de partage de codes pour la saison estivale, qui offrira à leurs clients un plus grand choix de vols de correspondance au Canada, aux États-Unis et à l’étranger. Les compagnies aériennes affirment que la première phase de l’accord se concentrera sur la connexion des bases de Porter à l’aéroport Billy Bishop de Toronto et celui d’Halifax à la plaque tournante d’Air Transat à Montréal.

L’accord de partage de code verra chaque compagnie aérienne commercialiser, sous son propre code, les vols opérés par son partenaire. L’accord permettra aux voyageurs de combiner des segments de vol sur un seul billet et d’enregistrer leurs bagages une seule fois.

Le directeur général de Porter Airlines, Michael Deluce, a déclaré que l’accord de partage de code complète les propres plans de croissance de sa compagnie aérienne. Il a dit que l’offre d’un accès fluide aux marchés internationaux desservis par Air Transat sera un grand avantage pour les passagers.

 

Lindt & Sprüngli

Le chocolatier suisse Lindt & Sprüngli (LISN.SW, 97 800 $CHF) a fait état mardi d’un vif rebond de son bénéfice net en 2021 et a relevé son objectif de croissance à moyen terme. Après le choc initial de la pandémie en 2020, le groupe a fait état d’un rebond de 53,2% de son bénéfice net, à 490,5 millions de francs suisses (487,8 millions d’euros), dépassant les prévisions, indique-t-il dans un communiqué. Les analystes interrogés par l’agence suisse AWP l’attendaient en moyenne à 483 millions de francs. 

Le groupe suisse avait déjà dévoilé ses ventes annuelles en janvier, faisant état d’un rebond de son chiffre d’affaires de 14,2% à 4,59 milliards de francs, notamment grâce à ses efforts pour accroître la vente en ligne et à une reprise du segment des chocolats offerts en cadeaux au fur et à mesure de l’assouplissement des restrictions sanitaires. 

En 2021, ses ventes ont non seulement «comblé» le creux de la pandémie en 2020, mais aussi surpassé leur niveau d’avant-pandémie, s’inscrivant en hausse de 6,4% par rapport à 2019 (hors effets de changes et acquisitions), insiste le groupe dans le communiqué. Pour l’année écoulée, le chocolatier suisse va relever son dividende de 9,1% à 1 200 francs par action et à 120 francs pour le bon de participation. Lindt & Sprüngli est l’action la plus chère de la Bourse suisse. Lundi, elle s’échangeait à 97 900 francs suisses contre 9 485 francs pour son bon de participation.

Le groupe a relevé son objectif de croissance à moyen terme, visant une progression des ventes de l’ordre à 6 à 8%, contre 5 à 7% auparavant. 

 

Air Liquide

Le groupe Air Liquide (AI.PA, 138,64 €) a reçu mardi le soutien de l’État, à hauteur de 200 millions d’euros, pour financer son projet d’électrolyseur en Normandie, qui doit être le premier jalon d’une filière hydrogène destinée à alimenter le bassin industriel autour du Havre. Le projet, baptisé «Normand’Hy», présenté mardi en présence du ministre de l’Économie Bruno Le Maire, porte sur la création d’une usine à Port-Jérôme (Seine-Maritime) d’ici 2025 en partenariat avec le groupe allemand Siemens qui produira de l’hydrogène «vert» à partir de l’électrolyse de l’eau et d’électricité renouvelable. 

Cette usine sera associée à celle déjà existante d’Air Liquide à Port-Jérôme, produisant de l’hydrogène «gris», mais décarboné grâce à un procédé d’extraction maison, pour le compte du pétrolier Exxon, et à une troisième usine, située tout près à Gonfreville, qu’Air Liquide va bientôt racheter à TotalEnergies et exploiter, a indiqué Benoît Potier, le PDG d’Air Liquide.

Le projet «Normand’Hy», qui porte sur la décarbonation de tout le bassin industriel normand le long de la Seine, associe aussi Esso, SAF, et des producteurs d’engrais comme Borealis ou Yara International. Le ministre a rendu un hommage appuyé au PDG d’Air Liquide Benoit Potier, qui va céder la place à son numéro deux en juin, en estimant que sans son action à la tête du conseil mondial de l’hydrogène, la filière hydrogène française n’aurait pas vu le jour.

 

À surveiller

Apple (AAPL, 163,17 $US): dévoilement d’un iPhone SE 5G cet après-midi. Apple devrait entre autres dévoiler à 13h cet après-midi, heure du Québec, un nouvel iPhone SE compatible avec la technologie 5G lors d’un événement de lancement qui se tiendra en Californie.

Canadien Pacifique (CP, 98,97 $): les membres du syndicat des Teamsters menacent de déclencher la grève. Les membres du syndicat des Teamsters, qui regroupe 3000 ingénieurs de locomotives, chefs de train, agents de train et agents de triage, ont voté vendredi dernier à 96,7% en faveur du déclenchement d’une grève à minuit et une le 17 mars.

Alimentation Couche-Tard (ATD, 48,52$): inquiétudes quant aux prix élevés du pétrole. Le titre du spécialiste des dépanneurs et des stations-service Alimentation Couche-Tard a connu des ratés récemment, ce que l’analyste Chris Li, de Desjardins, attribue à des inquiétudes en lien avec la montée rapide des prix du baril de pétrole brut.

 

Pour consulter les titres du 09 mars, cliquez suivant.

09 mars

 

À surveiller

AltaGas (ALA, 28,81 $): les résultats du 4e trimestre annoncent une bonne année 2022 selon l’analyste de la BMO. L’entreprise canadienne de transport et de distribution de gaz naturel, basée à Calgary, a réalisé des bénéfices par action ajustés de 0,38 $, ce qui était conforme aux prévisions des analystes, dont Ben Pham de BMO Marchés des capitaux qui avait prévu 0,39 $.

Magna International (MG, 73,34 $): un titre en chute libre depuis le début de la guerre en Ukraine. Maintenant qu’il est clair que le conflit entre la Russie et l’Ukraine est devenu une guerre à long terme, Peter Sklar, analyste chez BMO Marchés des capitaux, décote le titre de Magna de «surperformance» à «performance égale au marché», et il abaisse substantiellement son cours cible qui passe de 89 $ à 63 $.

Québecor (QBR.B, 29,24 $): le titre retrouve du tonus. Depuis que le ministère de l’Innovation, Sciences et Développement économique Canada a annoncé sa décision de forcer Rogers Communications à se départir d’une partie des actifs dans le sans-fil de Shaw Communications (Freedom Mobile), le cours de l’action de Québecor s’est apprécié de plus de 7% au cours des trois dernières séances de négociations, et ce, malgré que l’ensemble des marchés boursiers continuait d’encaisser des pertes importantes.

 

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10 mars

 

Dans les Titres en action:

Empire

Empire Company (EMP-A.TO, 44,01$) a affiché jeudi un bénéfice du troisième trimestre de 203,4 millions de dollars, en hausse par rapport à celui de 176,3 M$ réalisé lors de la même période un an plus tôt, alors que ses ventes ont progressé elles aussi. L’épicier a précisé que son profit par action s’était établi à 77 cents pour le plus récent trimestre, comparativement à celui de 66 cents réalisé l’an dernier.

Les ventes du trimestre de 13 semaines clos le 29 janvier ont totalisé 7,38 milliards de dolalrs (G$), alors qu’elles avaient été de 7,02 G$ lors du troisième trimestre précédent. Elles ont été soutenues par l’acquisition de Longo’s, par de meilleures ventes de carburant et par une hausse l’inflation alimentaire, ainsi que d’autres initiatives.

En excluant les ventes de carburant, les ventes des magasins ouverts depuis au moins un an ont reculé de 1,7 % sur un an.

Dans ses perspectives, Empire a indiqué s’attendre à que les ventes de ses établissements ouverts depuis au moins un an continuent de suivre une progression négative pendant le reste de l’exercice 2022, alors que les volumes de l’industrie diminuent par rapport aux ventes inhabituellement élevées d’il y a un an, en raison de la pandémie de COVID-19.

Le propriétaire des enseignes Sobeys et IGA a par ailleurs indiqué que les difficultés de la chaîne d’approvisionnement, essentiellement attribuables aux pénuries de main-d’œuvre causées par la COVID-19. Le secteur subit également des pressions inflationnistes, notamment en ce qui concerne le coût des marchandises vendues, a précisé Empire.

 

Transat

Le déferlement du variant Omicron a ralenti les efforts de Transat A.T. (TRZ.TO, 4,63 $) pour se remettre des interruptions des activités aériennes causées par les premières vagues de contamination du virus de la COVID−19. Au premier trimestre de 2022, le transporteur aérien québécois a subi une perte d’exploitation de 73,8 millions de dollars comparativement à 98 M$ au trimestre correspondant de 2021, une amélioration attribuée à la reprise progressive et partielle des opérations aériennes.

Néanmoins, la compagnie signale que le résultat d’exploitation a été freiné par l’annulation de près de 30% des vols pour les départs prévus de janvier à la suite de l’apparition du variant Omicron. Quant à la perte nette attribuable aux actionnaires, elle s’est établie à 114,3 M$, ou 3,03 $ par action diluée, par rapport à 60,5 M$, ou 1,60 $ par action diluée lors du trimestre correspondant de l’exercice précédent. 

Par rapport à un an plus tôt, les revenus ont augmenté de 160,5 M$, ou de 382,9%, à 202,4 M$ lors du trimestre clos le 31 janvier dernier. La compagnie attribue principalement cette progression à la hausse du nombre de voyageurs, combinée à une légère hausse des prix de vente moyens. L’allègement des mesures restrictives aux frontières a permis la reprise d’une courbe ascendante des réservations tant pour l’hiver que pour l’été, ce qui augure bien pour les prochains mois, selon l’entreprise. Transat A.T. affirme qu’il lui est encore néanmoins impossible pour l’instant de prévoir l’effet de la pandémie de COVID−19 sur les réservations à venir, ainsi que sur les résultats financiers. En conséquence, la compagnie ne présente pas de perspectives pour le second trimestre ni pour l’été 2022.

 

BMW

Le bénéfice net du constructeur automobile allemand BMW (BMW.DE, 70,68 €) a plus que triplé en 2021, tiré par une hausse du chiffre d’affaires, malgré la pénurie de semi-conducteurs, et une baisse des coûts de production, a annoncé le groupe jeudi. Les revenus ont progressé de 12% à 111,2 milliards d’euros, plus que le nombre de voitures vendues (+8%), grâce à des prix de vente plus élevés, alors que le bénéfice net a bondi de 223% à 12,5 G€. L’activité automobile phare a réalisé un bénéfice d’exploitation (B.A.I.I.) de 9,9 G€, en hausse de 357%. La marge, très scrutée par les analystes, a atteint 10,3%, en haut de la fourchette annoncée par l’entreprise.

Le résultat du groupe a également profité d’un effet positif d’environ un milliard d’euros en raison d’une amende de la part des autorités européennes de la concurrence moins élevée que prévu au deuxième trimestre. Au quatrième trimestre toutefois, le groupe a vu ses ventes baisser de 14% sur un an, à 589 000 unités, en raison de la pénurie de composantes électroniques, sans pour autant plomber le bénéfice net. Celui-ci a progressé de 34% à 2,3 G€ pour les trois derniers mois de l’année.

Mais après avoir traversé la pénurie de semi-conducteurs, le constructeur munichois doit désormais faire face aux effets de la guerre en Ukraine, qui a perturbé les chaînes d’approvisionnement du secteur, notamment en cables.BMW a été contraint, comme ses pairs, d’arrêter temporairement sa production par manque de pièces détachées livrées par ses fournisseurs installés dans le pays envahi par la Russie.

 

À surveiller

Stella-Jones (SJ, 37,79 $): des résultats qui dépassent les attentes. Les résultats du quatrième trimestre de Stella-Jones ont surpassé les attentes, ce qui devrait augmenter le retour des excédents aux actionnaires.

Transcontinental (TCL.A, 18,68 $): malgré un trimestre affecté par Omicron, l’horizon demeure positif. Malgré un premier trimestre difficile ponctué de problèmes liés au variant Omicron, la Banque CIBC estime que l’horizon demeure positif pour Transcontinental, qui retournera à une exécution plus solide en 2022 poussée par une demande accrue des produits d’emballage ainsi qu’une reprise du côté de l’impression.

Intertape Polymer Group (ITP, 22,28 $): sous-évaluation du titre confirmée par l’acquisition. L’acquisition d’Intertape Polymer Group par Clearlake Capital Group confirme l’avis de la Banque Scotia que le titre de l’entreprise montréalaise était clairement sous-évalué.

 

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11 mars

Dans les Titres en action:

CGI

CGI (GIB-A.TO, 104,57 $) a annoncé une entente visant à étendre ses activités en Europe avec un accord pour l’achat d’Umanis, une société française de services numériques. La société montréalaise de conseil en technologie et en affaires affirme que la transaction valorise Umanis à environ 310 millions d’euros (436 millions $ CAN).

Le chef de la direction de CGI, George Schindler, a déclaré que la combinaison des activités de CGI et d’Umanis renforcera la présence et le positionnement de l’entreprise en Europe de l’Ouest et du Sud. En vertu de l’accord, CGI France a le droit exclusif d’acheter toutes les actions détenues par le directeur général de Mura et Umanis, Olivier Pouligny, représentant une participation de 70,6% dans la société, à 17,15 euros par action dans le cadre d’un achat en bloc.

Sous réserve de la réalisation de l’achat du bloc, CGI France a l’intention de lancer une offre publique d’achat obligatoire pour acquérir le solde des actions d’Umanis au même prix. CGI indique que l’acquisition du bloc, qui est soumis à des conditions, et le dépôt de l’offre auprès des régulateurs français devraient être réalisés d’ici la fin du deuxième trimestre de cette année.

 

Deutsche Bank

Deutsche Bank (DBK.DE, 9,75 €) a de nouveau gonflé l’enveloppe des primes versées à ses équipes en 2021, de 13%, après avoir dégagé un bénéfice record en dix ans et sur fond de guerre des talents. La première banque allemande a alloué une enveloppe de 2,1 milliards d’euros de prime à ses salariés, contre 1,9 milliard d’euros en 2020, qui marquait une hausse de 29%, selon le rapport annuel publié vendredi.

Les quelques 7 200 salariés dans la banque d’investissement ont obtenu près de la moitié du pactole, soit une moyenne supérieure à 140 000 euros par tête. Cette division a dégagé l’an dernier un résultat imposable de 3,7 milliards d’euros, contribuant à la majeure partie du meilleur résultat du groupe obtenu lors de la décennie passée.

Le patron de la banque s’était inquiété en février de «la guerre de plus en plus intense pour les talents et l’évolution des salaires dans l’industrie» financière, lors de la présentation des résultats préliminaires de la banque, confirmés vendredi. Sa propre rémunération s’est élevée en 2021 à 8,8 millions d’euros, en hausse de 18% sur un an, et dont un quart environ sera versé les années à venir.

 

À surveiller

Linamar (LNR.TO, 50,79 $): les conséquences de la crise en Ukraine assombrissent le portrait. Tandis que l’instabilité en Europe de l’Est assombrit les prévisions à court terme de Brian Morrisson de la Banque TD à l’égard des deux divisions de Linamar, celui-ci estime qu’une reprise de la demande devrait animer sa croissance en 2023.

Transat (TRZ.TO, 4,65$): les réservations prennent de l’altitude. À mesure que les restrictions sanitaires s’estompent, les voyageurs renouent avec l’avion, et Transat se trouve sur la bonne voie pour en profiter au cours des prochains trimestres, estime Cameron Doerksen de la Financière Banque Nationale.

WSP Global (WSP.TO, 168,65$): devenir la leader incontestée du secteur du génie. En dévoilant son nouveau plan stratégique des trois prochaines années, WSP Global a laissé entendre qu’à long terme, elle compte devenir la leader incontestée du secteur du génie, rapporte Troy Sun de Valeurs mobilières Banque Laurentienne. Et «les astres sont alignés», selon ce dernier.