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Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

lesaffaires.com|Mis à jour le 16 avril 2024

Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

(Photo: Getty Images)

BRP (DOO-T, 118,17$, DOOO-N, 94,02 $US): plein gaz
Malgré un inventaire réduit, BRP est parvenue à dépasser les attentes des analystes au cours du deuxième trimestre de son exercice de 2022, et elle compte bien poursuivre sur ce sentier malgré les embûches qui pointent à l’horizon, croit Brian Morrison de TD Securities.

Quels titres boursiers et rapports d’analystes ont retenu l’attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

14 mars

 

Dans les Titres en action:

Shaw

Le fondateur de Wind Mobile, qui est devenu le quatrième opérateur de téléphonie mobile au Canada avant d’être vendu à Shaw Communications (SJR-B.TO, 38.35 $) en 2016, serait intéressé à racheter cet actif, rebaptisé depuis Freedom Mobile. Anthony Lacavera, aujourd’hui président de Globalive, a indiqué que sa firme serait intéressée par les actifs sans fil de Freedom, que Shaw pourrait être forcée de vendre par les autorités réglementaires pour que soit autorisée la transaction qui verrait Rogers Communications acquérir Shaw. 

L’entente conclue entre Rogers et Shaw est examinée par trois différentes autorités réglementaires fédérales, soit le Bureau de la concurrence, la Commission de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) et Innovation, Sciences et Développement économique Canada. 

La transaction doit affronter une certaine opposition, notamment en raison des inquiétudes liées à son impact sur la concurrence dans l’industrie du sans-fil. Des observateurs s’attendent à ce que Shaw doive vendre certains de ses actifs pour que l’entente soit approuvée. M. Lacavera a indiqué que son entreprise était bien capitalisée et qu’elle avait déjà montré qu’elle était en mesure de réussir à élargir la concurrence sur le marché canadien.

 

Loblaw

Les Compagnies Loblaw (L.TO, 114,90$) ont annoncé lundi avoir signé un accord prévoyant leur acquisition du Groupe Santé Lifemark pour 845 millions $ en espèces. Lifemark, une propriété d’Audax Private Equity, fournit des services ambulatoires en matière de physiothérapie, de massothérapie, d’ergothérapie, de chiropratique, de santé mentale et d’autres services de réadaptation.

Il compte plus de 300 cliniques à travers le Canada. Loblaw, qui possède la chaîne de pharmacies Shoppers Drug Mart (Pharmaprix au Québec), espère que la transaction lui permettra de faire croître ses activités de fournisseur de services de santé.

L’entente est assujettie à l’approbation des autorités réglementaires et aux autres conditions de clôture habituelles. Elle devrait être conclue au cours du deuxième trimestre de l’année, a précisé Loblaw.

 

À surveiller

Empire Company Limited (EMP.A, 44,48 $): le titre en hausse de plus de 10% en deux semaines. Depuis le début du mois de mars, aidé par de bons résultats trimestriels, le titre du holding qui détient la chaîne de supermarchés Sobeys s’est apprécié durant 9 séances consécutives pour un gain de 10%.

Canadian Tire Corporation (CTC.A, 177,73 $): une journée des investisseurs qui a plu à l’analyste de la Banque Nationale. Le détaillant canadien qui compte plus de 1 000 magasins et postes d’essence a tenu sa journée des investisseurs la semaine dernière, et la présentation de son plan de développement pour les prochaines années a certainement plu à l’analyste de Banque Nationale, Vishal Shreedhar, car celui-ci a haussé ses estimations ainsi que son cours cible.

NFI Group (NFI, 15,17 $): un trimestre décevant amène l’analyste de la CIBC à réduire son cours cible. Les résultats de 4e trimestre du fabricant d’autobus et de trolleybus de Winnipeg ont été décevants au point que le titre se retrouve 20% plus bas deux jours après la divulgation. Kevin Chiang, analyste chez CIBC Marchés des capitaux, réagit en réduisant son cours cible de 25 $ à 18 $.

 

Pour consulter les titres du 15 mars, cliquez suivant.

15 mars

 

Dans les Titres en action:

Softbank

Le fabricant britannique de microprocesseurs Arm, filiale du japonais Softbank (9984.T, 4 265 $JPY), prévoit de licencier jusqu’à 15% de ses effectifs, soit plusieurs milliers de personnes dans le monde, après sa fusion ratée avec le géant américain Nvidia. Arm a indiqué dans une déclaration que les suppressions de postes représentaient plus de 6 000 emplois dans le monde, le Royaume-Uni et les États-Unis étant les plus touchés.

SoftBank Group a annoncé début février un accord avec Nvidia mettant fin à la vente à ce dernier du fabricant britannique de microprocesseurs Arm, à cause «d’obstacles réglementaires significatifs». Le géant japonais des investissements dans les nouvelles technologies compte à la place réintroduire en Bourse d’ici fin mars 2023 Arm, acquis en 2016 pour 32 milliards de dollars. Il revient ainsi à son plan initial.

Le projet de céder Arm à Nvidia, annoncé en septembre 2020 et qui devait initialement se concrétiser en ce début d’année, avait du plomb dans l’aile depuis des mois face aux vives réticences exprimées par diverses autorités réglementaires, notamment le Royaume-Uni, l’Union européenne et les États-Unis, inquiets d’une position trop centrale de Nvidia dans ce secteur. Pour SoftBank Group, le manque à gagner est énorme : le prix de vente d’Arm était de 40 milliards de dollars au départ, et sa valeur avait considérablement augmenté depuis, car une partie devait être payée en actions Nvidia, spécialiste des cartes graphiques dont le titre a décollé l’an dernier.

 

Volkswagen

La rentabilité des modèles électriques, longtemps source d’inquiétude pour les constructeurs, va atteindre celle des voitures à combustion «plus rapidement que prévu» chez Volkswagen (VOW3.DE, 148,74 €), bénéficiant d’économies d’échelle de plus en plus importantes. Malgré la hausse du prix des matières premières, «nous sommes optimistes quant au fait d’atteindre la parité des marges plus tôt que nous le pensions initialement», a expliqué mardi le directeur financier, Arno Antlitz, lors d’une conférence en ligne.

Grâce à une «bonne demande, de bons prix à la vente et de meilleures économies d’échelle» pour la plateforme technologique «MEB» de Volkswagen, la rentabilité de la gamme électrique s’améliore. Initialement, Volkswagen comptait pouvoir aligner les marges de l’électrique sur celle des voitures traditionnelles en 2023 ou 2024, soit «deux à trois ans» après le lancement, l’an dernier, de la nouvelle stratégie d’électrification de Volkswagen.

Squelette technique adaptable à plusieurs types de voitures électriques, la «plateforme» MEB est utilisée aujourd’hui dans dix modèles de cinq marques du groupe, de la citadine au minibus ID.Buzz dévoilé la semaine dernière en passant par des VUS.

L’annonce de Ford de construire un deuxième modèle reposant sur la technologie «MEB» de Volkswagen, doublant le volume attendu à 1,2 million d’unités, va également permettre «de booster la profitabilité» et augmenter encore les économies d’échelle, selon le directeur financier. Le groupe veut faire de la mise à disposition de ses technologies une activité à part entière et compte également proposer sa prochaine plateforme SSP à d’autres constructeurs.

 

À surveiller

Loblaw (L.TO, 114,79 $): l’achat de Lifemark Health Group plaît à l’analyste de la Financière Banque Nationale. Shopper Drug Mart, filiale de Loblaw, a annoncé l’acquisition de Lifemark Health Group pour un montant de 845 millions de dollars.

Guru Énergie Bio (GURU.TO, 9,99 $): résultats financiers supérieurs aux prévisions. L’entreprise de boissons énergisantes Guru a fait état de résultats financiers supérieurs aux prévisions avant l’ouverture des marchés ce matin pour le premier trimestre de son exercice 2022 (terminé le 31 janvier), avec des revenus en hausse de 5,5% sur un an à près de 7 millions de dollars (M$) et à une augmentation de ses volumes de vente de 22%.

CGI (GIB-A.TO, 102,75 $): acquisition de la société française Umanis pour accroître sa présence en Europe. CGI a annoncé le 11 mars que sa filiale CGI France SAS allait acquérir la société française Umanis pour un montant de 310 millions d’euros, soit environ 433 millions de dollars.

 

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16 mars

 

Dans les Titres en action:

Couche-Tard

Alimentation Couche-Tard (ATD.TO, 47,91 $) a affiché mardi un bénéfice net du troisième trimestre en hausse de 22,9% par rapport à la même période l’an dernier, tandis que ses revenus ont bondi de 41,2%. La chaîne de dépanneurs a vu son profit atteindre 746,4 millions $US, soit 70 cents US par action pour le trimestre clos le 30 janvier, alors que celui-ci avait été de 607,5 millions $US, ou 55 cents US par action, lors de la même période un an plus tôt. 

Les revenus de l’entreprise lavalloise ont totalisé 18,58 milliards $US au plus récent trimestre, alors que son chiffre d’affaires avait été de 13,16 milliards $US un an plus tôt. Les revenus tirés des marchandises et des services, qui excluent les ventes de carburant, se sont chiffrés à 4,79 milliards $US, comparativement à ceux de 4,53 milliards $US du troisième trimestre précédent. 

Le bénéfice ajusté, qui exclut les éléments non récurrents, s’est chiffré à 70 cents US par action, contre celui de 56 cents US par action de la même période l’an dernier. Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 63 cents US par action, ainsi qu’à un chiffre d’affaires de 17,89 milliards $US, selon les prévisions recueillies par la firme de données financières Refinitiv. 

Le conseil d’administration a autorisé le paiement d’un dividende de 11 cents CAN par action pour le troisième trimestre, lequel sera versé le 7 avril aux actionnaires inscrits le 24 mars. 

 

Yandex

Le patron arménien de Yandex (YNDX, Cours de l’action suspendu depuis le 25 février), Tigran Khoudaverdian, a démissionné de la tête du groupe, géant de l’internet russophone, après avoir été inclus dans une liste de sanctions européennes, a déclaré le groupe dans un communiqué publié dans la nuit de mardi à mercredi.

L’entreprise – surnommée le « Google russe » – est enregistrée aux Pays-Bas et dispose de filiales européennes, britanniques et américaines, mais l’essentiel de ses activités se déroulent en Russie et dans les pays russophones. Il s’agit d’une sanction individuelle, le géant technologique n’étant lui pas sanctionné.

L’Union européenne a adopté mardi soir un quatrième train de sanctions contre Moscou depuis le début de l’offensive militaire russe en Ukraine. L’UE motive ses sanctions contre Yandex en reprochant à l’entreprise d’avoir une responsabilité dans la dissimulation d’informations sur le conflit auprès du public russophone. 

Yandex a pour sa part indiqué avoir «une équipe de direction solide et approfondie en place et le conseil d’administration examinera la structure de gestion appropriée à l’avenir». «Nous avons été choqués et surpris d’apprendre que Tigran a été placé sous sanctions de l’UE, et nous sommes extrêmement désolés de le voir quitter ses fonctions», a déclaré John Boynton, président du conseil d’administration du groupe.

Yandex est le premier portail de recherche de l’espace russophone, où le groupe est également omniprésent dans le domaine des taxis et des livraisons de nourriture.

 

À surveiller

Marché Goodfood (FOOD, 2,07 $): un financement qui permettra d’accélérer le développement de sa stratégie de livraison à la demande. Bien que Goodfood ajoutait l’automne dernier des produits d’épicerie à sa liste de repas qu’elle offrait déjà, le cours de l’action n’en finit pas moins de s’enfoncer de plus en plus chaque jour.

Power Corporation (POW, 38,45 $): l’analyste de la BMO réduit quelque peu ses prévisions. Comme bien d’autres, le cours de l’action du holding financier a été sous pression depuis le début de l’année. De 43,00 $ qu’il touchait à la mi-janvier, le titre ne valait plus que 37,50 $ le 8 mars, soit une baisse de 12,8%.

goeasy (GSY, 127,27 $): le titre se négocie près de sa valeur de liquidation de 2023. De 200 $ auquel il se négociait en novembre dernier, le titre de la société financière alternative de Mississauga ne vaut plus aujourd’hui que 127 $, un chute de près de 37%.

 

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17 mars

 

Dans les Titres en action:

Nutrien

Nutrien (NTR.TO, 123,88 $) augmente sa production de potasse pour cette année en réponse à l’incertitude entourant l’approvisionnement de l’Europe de l’Est, alors que l’invasion de l’Ukraine par la Russie se poursuit. La société de Saskatoon affirme qu’elle augmente la production de cet ingrédient clé de l’engrais pour 2022 de près d’un million de tonnes, pour la porter à environ 15 millions de tonnes. 

La majeure partie du volume supplémentaire devrait être produite au cours de la deuxième moitié de l’année. Nutrien s’attend à une légère augmentation de ses dépenses en immobilisations et affirme qu’elle embauchera des travailleurs supplémentaires dans ses mines de potasse en Saskatchewan. 

Le Canada est le plus grand producteur de potasse au monde, mais la Russie et la Biélorussie sont également d’importants exportateurs. Le président et chef de la direction par intérim de Nutrien, Ken Seitz, a souligné que les impacts de l’attaque de la Russie contre l’Ukraine s’étendent au−delà de l’Europe de l’Est, car une perturbation de l’approvisionnement en produits agricoles, en engrais et en énergie pourrait avoir des implications pour la sécurité alimentaire mondiale. 

 

Cineworld

Le résultat 2021 de Cineworld (CINE.L, 37,19 £) a encore été «sévèrement pénalisé par les fermetures liées à la COVID-19» entre janvier et mai, avec en plus un nombre limité de nouveaux films, a indiqué le groupe dans un communiqué. S’il annonce encore une perte nette de 566 millions de dollars américains, elle est très inférieure à la perte massive de 2,7 G$US un an plus tôt.

Les recettes ont rebondi, passant de 852 M$US en 2020 à 1,8 G$US l’an dernier, tout comme le nombre des entrées, en hausse de 75,2% à 95,3 M$US. Le groupe prévient que les mois de janvier et février 2022 auront subi l’impact du variant Omicron et du manque de sorties de films majeurs, mais prévoit des revenus solides à partir de mars.

En revanche, la lourde dette du groupe s’est creusée de 600 M$US à 8,9 G$US et Cineworld a été condamné à la fin de l’an dernier par un tribunal canadien à payer des centaines de millions de livres de dommages et intérêts pour avoir annulé un projet de fusion avec son rival Cineplex.

 

À surveiller

BRP (DOO.TO, 86,62 $): la Russie assombrit les perspectives. Si les fondamentaux de BRP n’ont pas changé au cours du dernier trimestre, les perspectives, elles, se sont assombries en raison de la guerre que livre la Russie à l’Ukraine.

Dialogue (CARE.TO, 5,61 $): rendement sur le capital investi encore attirant. Même si les marges de Dialogue devraient être moins élevées au quatrième trimestre, la Banque Laurentienne estime que le fournisseur de soins virtuels montréalais demeure une option attirante en ce qui concerne le rendement sur le capital investi.

Alimentation Couche-Tard (ATD.TO, 50,82 $): l’entreprise surpasse de nouveau les attentes. Alimentation Couche-Tard a de nouveau dépassé les attentes avec un bénéfice par action supérieur au consensus du marché de 7,7% au troisième trimestre, souligne la Banque Scotia.

 

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18 mars

Dans les Titres en action:

Power Corporation

Power Corporation (POW.TO, 38,84 $) du Canada affirme avoir réalisé des bénéfices records l’an dernier, son bénéfice net étant demeuré stable au quatrième trimestre. La société de portefeuille établie à Montréal a déclaré que ses bénéfices attribuables aux actionnaires avaient atteint 2,92 milliards de dollars pour l’exercice, en hausse par rapport à 1,99 G$ en 2020, tandis que les bénéfices ajustés avaient augmenté de 55% pour atteindre 4,77 $ par action diluée.

Au cours des trois mois terminés le 31 décembre, Power Corp. a engrangé 626 M$ ou 93 cents par action, contre 623 M$ ou 92 cents par action au trimestre de l’année précédente. Les bénéfices ajustés pour le trimestre se sont élevés à 676 M$ ou 1 $ par action, conformément aux prévisions des analystes et en hausse par rapport aux 627 M$ ou 93 cents par action au quatrième trimestre 2020.

La société affirme avoir réalisé ses réductions de coûts ciblées de 50 millions $ à la suite de sa réorganisation achevée en février 2020 dans le cadre de laquelle elle a acquis les participations minoritaires de la Financière Power. Power Corp. détient le contrôle total de la Financière Power et, par conséquent, des participations majoritaires dans Great−West Lifeco, IGM Financial et Wealthsimple Financial Corp., ainsi qu’une participation minoritaire dans Pargesa Holding.

 

MDA

MDA (MDA.TO, 10,95 $)a affiché jeudi un bénéfice du quatrième trimestre de 600 000 $, ce qui se compare à une perte de 12,6 M$ pour la même période un an plus tôt. Ses revenus ont progressé de 15%. La société spécialisée dans les satellites et la technologie spatiale a précisé que son profit par action était inférieur à 1 cent pour le plus récent trimestre clos le 31 décembre, comparativement à une perte de 16 cents par action pour les trois derniers mois d e 2020.

Les revenus ont totalisé 115,5 M$, alors qu’ils avaient été de 100,2 M$ au quatrième trimestre précédent. En excluant l’impact du programme de la Subvention salariale d’urgence du Canada, le bénéfice ajusté avant intérêt, impôts, dépréciation et amortissement de MDA s’est établi à 26,0 M$, comparativement à 21,7 M$ un an plus tôt.

Le carnet de commandes de la société valait 864,3 millions $ en date du 31 décembre, par rapport à 562,5 M$ à la fin de 2020. Plus tôt en mars, MDA a annoncé avoir remporté un contrat de 269 M$ de l’Agence spatiale canadienne pour la prochaine phase du programme Canadarm3, qui verra l’entreprise terminer la conception préliminaire du système robotique.

 

À surveiller

Power Corporation (POW, 38,84$): les investisseurs doivent être indulgents. Même si le bénéfice par action de Power Corporation au dernier trimestre a raté la cible, n’en tenez pas trop rigueur à la société de gestion et de portefeuille: elle semble être bien positionnée pour faire bonne figure malgré le contexte incertain actuel, estime Geoffrey Kwan de RBC Marchés des capitaux.

Redevances aurifères Osisko (OR, 17,72 $, 13,97 $ US): une entente exécutoire qui plaît. Shane Nagle de la Financière Banque Nationale voit d’un très bon œil la nouvelle entente exécutoire dévoilée mardi entre Redevances Aurifères Osisko et la société d’acquisition à vocation spécifique (SPAC), Metals Acquisition Corp.

Hexo (HEXO, 0,79 $): un trimestre difficile à déchiffrer. Il y a du bon et du moins bon dans les résultats trimestriels que le producteur de cannabis Hexo a dévoilé jeudi après la fermeture des marchés, si l’on se fie à Frederico Gomes d’ATB Capital.